jeannetperz a écrit:les coûtusiriers l' ont pas la ptite main pour la maille.
Chic-cool-wear c est it la mode bling bling rien que pour la fringue de luxe l ont dépensé plus 330 millions d euros en 2013. Le top model Cara Delevingne aurait palpé 46 millions d Euros en 2013. Parait oui mon cousin qu un tee-shirt en cachemire ou est marqué chômeur, vend 285 euros. Ys dit la mode de cette année est le style pauvre , Sdf et recyclage poubelle. jvai garder mon bleu de travail, jvai faire le vintage 600 Euros le blue-job .
tout ce milieu de parasites au pif poudré, se pense artiste. Bof des marquises comme le Largafeld au grand col pour cacher les plis de son cou fait le collet monté.
le tribut du greffier
Parait ceux du tribunal de commerce touchent en moyenne 10 000 euros par mois. Ben les cochons z ont la tripe rapace.
pour mala le fielleux c est être des portes ouvertes, mais les fenêtres du journal un autre future fait dla reprise de jeannetpresse.
jeannetperz a écrit:les coûtusiriers l' ont pas la ptite main pour la maille.
Chic-cool-wear c est it la mode bling bling rien que pour la fringue de luxe l ont dépensé plus 330 millions d euros en 2013. Le top model Cara Delevingne aurait palpé 46 millions d Euros en 2013. Parait oui mon cousin qu un tee-shirt en cachemire ou est marqué chômeur, vend 285 euros. Ys dit la mode de cette année est le style pauvre , Sdf et recyclage poubelle. jvai garder mon bleu de travail, jvai faire le vintage 600 Euros le blue-job .
tout ce milieu de parasites au pif poudré, se pense artiste. Bof des marquises comme le Largafeld au grand col pour cacher les plis de son cou fait le collet monté.
le tribut du greffier
Parait ceux du tribunal de commerce touchent en moyenne 10 000 euros par mois. Ben les cochons z ont la tripe rapace.
pour mala le fielleux c est être des portes ouvertes, mais les fenêtres du journal un autre future fait dla reprise de jeannetpresse.
jeannetperz a écrit:les coûtusiriers l' ont pas la ptite main pour la maille.
Chic-cool-wear c est it la mode bling bling rien que pour la fringue de luxe l ont dépensé plus 330 millions d euros en 2013. Le top model Cara Delevingne aurait palpé 46 millions d Euros en 2013. Parait oui mon cousin qu un tee-shirt en cachemire ou est marqué chômeur, vend 285 euros. Ys dit la mode de cette année est le style pauvre , Sdf et recyclage poubelle. jvai garder mon bleu de travail, jvai faire le vintage 600 Euros le blue-job .
tout ce milieu de parasites au pif poudré, se pense artiste. Bof des marquises comme le Largafeld au grand col pour cacher les plis de son cou fait le collet monté.
le tribut du greffier
Parait ceux du tribunal de commerce touchent en moyenne 10 000 euros par mois. Ben les cochons z ont la tripe rapace.
pour mala le fielleux c est être des portes ouvertes, mais les fenêtres du journal un autre future fait dla reprise de jeannetpresse.
jeannetperz a écrit:les coûtusiriers l' ont pas la ptite main pour la maille.
Chic-cool-wear c est it la mode bling bling rien que pour la fringue de luxe l ont dépensé plus 330 millions d euros en 2013. Le top model Cara Delevingne aurait palpé 46 millions d Euros en 2013. Parait oui mon cousin qu un tee-shirt en cachemire ou est marqué chômeur, vend 285 euros. Ys dit la mode de cette année est le style pauvre , Sdf et recyclage poubelle. jvai garder mon bleu de travail, jvai faire le vintage 600 Euros le blue-job .
tout ce milieu de parasites au pif poudré, se pense artiste. Bof des marquises comme le Largafeld au grand col pour cacher les plis de son cou fait le collet monté.
le tribut du greffier
Parait ceux du tribunal de commerce touchent en moyenne 10 000 euros par mois. Ben les cochons z ont la tripe rapace.
pour mala le fielleux c est être des portes ouvertes, mais les fenêtres du journal un autre future fait dla reprise de jeannetpresse.
jeannetperz a écrit:Naguère il posa ses valoches sur le caillou et pensa aux humbles. de nos jours le billet est celui de l exil fiscal. D autres paradis croquent leur chocolat noir de chez fraude. De cannes, betteraves, saccharine, stévia, blanc, brun, rouge quant il s agit de se sucrer, ya pas nationalisme de la provenance ou de contrôle d origine, seul est garanti le dépôt. Mais le carré vip a trop planquer les tablettes de lingots chocolat. Les pralines arrivent . La Suisse assise sur un moelleux au coeur confondu de pépites. Doit publier la composition du nectar et aussi la recette du blanchiment du beurre de l appât du grain. Les dragées en goûent de faire part , le conchage des ganaches et pro mets heurt du palais. la Suisse doit lever le secret planquaire et faire une réhelvétation du cara- miel contenu dans ces coffrets. 30 000 français pour une fève en moyenne de I millions d Euros,trop gourmands de confisquerie Suisse vont être marrons. Elle va dégraisser la crotte des mordus de la filière caca haut gamme. la canne a sucre va tleur refiler un rhun de cerveau .Vont crêper le quignon les agités dla galette . Le Canton ira plumer l agioteur en truffant son beurre de l amerthune . Les fines gueules du cappuccino auront la tête au carré . Nous seront alors que la théobromine, trytophane,sérotonine ne sont pas réservées aux agapes dans l alpage. Mais pour pas être bonbon par l industrie de la chocofilouterie. Ont prend le biscuit dans tous les entrepôts tablettes, faut pas leur laisser un once de fondu.
De CORRESPONDANT À CAEN, LOUIS LAROQUE
À la une du Point.fr
Chemise blanche, costume noir, Thierry Lepaon, 54 ans, fils de maçon et de cuisinière de lycée, s'est fait connaître comme "le" syndicaliste de Moulinex. Après son embauche comme serrurier en 1983 à l'usine de Cormelles-le-Royal, près de Caen, il s'est rapidement imposé comme leader de la CGT au sein du groupe de petit électroménager français (5 000 salariés, 13 usines en Basse-Normandie).
La montée en puissance de la CGT, qui passe de 15 % à 40 % des voix aux élections professionnelles à Cormelles, se réalise avec la bénédiction de la direction générale de l'entreprise, soucieuse de mettre fin au monopole de la CFDT dans les usines Moulinex. Fin 1979, une grève de quinze jours avait paralysé la production. Alors chef du personnel de Moulinex, l'ancien militaire Alfred Sirven, que l'on retrouvera plus tard chez Elf, avait fait intervenir un commando musclé pour évacuer l'usine.
Et le recrutement, le 3 janvier 1983, de Thierry Lepaon, qui a bénéficié d'une rare et petite prime d'embauche (600 francs pour un salaire de 5 477,16 francs), serait l'un des derniers "coups" d'Alfred Sirven chez Moulinex. D'autant que le nouvel embauché voit son ancienneté prise en compte au 3 octobre 1982. Affichant un an de présence dans l'entreprise, il peut se présenter dès novembre 1983 aux élections professionnelles. Cette bienveillance patronale s'est prolongée : à l'usine de Cormelles, on se souvient des whiskies amicaux entre Thierry Lepaon et Pierre Blayau, P-DG de Moulinex de 1996 à 2000, dans les locaux de la CGT, et même du cadeau offert par le patron lors de la naissance de la fille du syndicaliste.
Signe de pouvoir
Quels rapports le cégétiste entretient-il avec sa base ? Lors de la négociation annuelle sur les salaires, il évoque "ses boeufs qui ne sont pas d'accord avec la direction". Pour autant, il s'impose parmi le personnel. "Des syndiqués de base se pressaient pour garer sa voiture lorsqu'il arrivait", assure une ouvrière.
L'automobile constitue d'ailleurs un signe de pouvoir : devenu délégué central CGT, Thierry Lepaon se rend aux réunions parisiennes dans sa voiture alors conduite par un militant volontaire. Le syndicaliste, également adhérent du parti communiste, s'est rendu aux obsèques de Georges Marchais, ancien secrétaire général du PCF, en novembre 1997 en région parisienne, dans une voiture de location avec chauffeur. Des élus du comité d'entreprise de l'usine de Cormelles-le-Royal, qui avec prudence souhaitent conserver l'anonymat, assurent que ce même comité d'entreprise aurait réglé la location de la limousine.
"Thierry Lepaon a toujours rêvé d'être cadre sup. Il s'est trompé de syndicat : il était plus fait pour la CGC que la CGT", témoigne un ancien militant de Caen. Présidente d'une association d'anciens de Moulinex, Maguy Lalizel ajoute en 2012 au micro de France 3 Basse Normandie : "Thierry Lepaon, c'est comment je me fais voir, comment me placer. Avec une seule préoccupation : où sont mes propres intérêts ? Loin de l'intérêt collectif."
05 décembre 2014
Thierry Lepaon : « Je ne partirai pas »
Juste avant la réunion de crise du bureau confédéral de la CGT, vendredi 5 décembre au matin, Thierry Lepaon a enregistré une vidéo pour indiquer que, selon les premières estimations, sa centrale était en tête aux élections dans la fonction publique. Sans préciser si elle avait progressé ou reculé, il a parlé de "point d'appui". Point d'appui pour lui-même ? Au cours de ce conclave qui a duré trois heures d'horloge, le secrétaire général a manifesté sa volonté de s'accrocher à son poste, écartant toute démission : "J'ai été choisi par défaut, a-t-il déclaré, et c'est très dur parce qu'il faut gouverner par défaut. Et donc je dois rester par défaut même si c'est dur parce qu'il ne faut pas qu'on revive ce qu'on a connu avec la cacophonie et la guerre des chefs". Conclusion : "Je ne partirai pas."
Le secrétaire général de la CGT qui, lors de la précédente réunion du 2 décembre, après les révélations de L'Express sur son indemnité de départ de la région Basse-Normandie, s'était mis à dos l'ensemble de son bureau confédéral, à l'exception d'Agnès Naton qui, absente, avait été consultée par téléphone, a réussi à retourner certains membres de cette instance. Agnès Le Bot, Philippe Lattaud et Agnès Naton se sont rangés à ses côtés, en expliquant que son départ rallumerait la guerre des chefs. Un communiqué de la CGT assurait dans l'après-midi que "contrairement à ce qui circule dans certains médias, aucun membre du bureau confédéral n'a demandé la démission de Thierry Lepaon". Sauf que tous les membres de la direction ont indiqué que la question de sa démission était sur la table. Même Agnès Naton a observé que, compte tenu du grand nombre de courriers qu'elle recevait, réclamant la démission du secrétaire général, le sujet était dans le paysage. Tout en renvoyant la décision d'une démission à la responsabilité du seul secrétaire général, Marie-Laurence Bertrand a estimé qu'il fallait mesurer les dégâts que la crise provoquait chez les militants et les effets sur sa crédibilité.
Au début de la réunion, à laquelle assistaient deux membres de la commission exécutive (CE), au titre de leur "permanence" – Nadine Prigent, candidate malheureuse à la succession de Bernard Thibault et Alain Alphon-Layre –, le successeur de Thierry Lepaon à la tête de la Basse-Normandie est venu justifier son indemnité de départ. Après ces explications, raconte un dirigeant, "c'était encore plus opaque que ce que l'on savait avant. Il y a des montages financiers qui sont abracadabrantesques."
Les quatre "rebelles" du bureau – Eric Aubin, Sophie Binet, Valérie Lesage et Mohammed Oussedik – se sont exprimés à l'unisson. La question, ont-ils dit, n'est pas de se demander si la CGT est en crise mais de constater qu'elle l'est. Il s'agit de savoir si la direction est encore crédible. Ils ont plaidé pour le "respect des instances" et la convocation d'un comité confédéral national (CCN) extraordinaire, le parlement cégétiste, qui réunit les 33 fédérations et les 96 unions départementales, qui aurait à examiner la démission du secrétaire général, voire de l'ensemble du bureau confédéral. Thierry Lepaon a alors sorti sa botte secrète : comme l'indique le communiqué de la CGT, il a proposé la tenue, avant le 16 décembre, "d'une réunion des secrétaires généraux des organisations pour permettre le débat le plus large dans la CGT", en assurant que "la transparence complète sera donnée sur l'ensemble des sujets". En convoquant les secrétaires généraux des fédérations et des unions départementales, qui composent le CCN, il évite la réunion statutaire de cette instance et la prive de son pouvoir de décision.
Thierry Lepaon avait préparé le terrain en réunissant, mercredi 3 décembre au soir, "à leur demande", a-t-il précisé, les secrétaires généraux de six fédérations – métallurgie, énergie, santé, transports, travailleurs de l'Etat et cheminots. Il aurait alors tenté de passer un accord avec Philippe Martinez, le secrétaire général de la fédération de la métallurgie, en lui demandant de le soutenir, indiquant qu'en échange il lui proposerait de lui succéder au prochain congrès en octobre 2016. Or, selon nos informations, après les révélations de L'Express, M. Martinez était mandaté pour demander la démission de M. Lepaon. "Ces fédérations ont joué la division, souligne un dirigeant. Si on ne voulait pas employer des grands mots on pourrait parler d'activité fractionnelle. Ils risquent d'avoir de gros problèmes dans leurs fédérations."
Vendredi, Jean-Pierre Mercier, délégué CGT de PSA et militant de Lutte ouvrière, a réclamé la démission de M. Lepaon : "Pour le bien de tous les militants d'entreprise, tous les syndiqués, qu'il laisse la place, ça ferait du bien à tout le monde." "C'est intenable et écœurant", a-t-il ajouté. "Je suis rarement d'accord avec lui, explique un dirigeant, mais là je constate qu'il ne fait qu'exprimer un sentiment qui se reflète majoritairement dans l'énorme courrier que nous recevons."
M. Lepaon a-t-il sauvé sa tête ? C'e serait bien présomptueux de l'affirmer. "Personne ne s'attendait à ce qu'il démissionne aujourd'hui, observe un responsable, et personne ne le demandait." Si la colère des militants continue à monter, à travers le courrier reçu à Montreuil et dans les fédérations, la commission exécutive du 9 décembre sera sous pression et peut toujours décider de convoquer un CCN extraordinaire. "Le légitimisme peut jouer, explique un dirigeant, mais si on reste dans le statu quo, ce serait terrible pour l'organisation, ce serait une catastrophe." A défaut, il suffit qu'un tiers des membres du CCN en demande la convocation pour qu'il se réunisse. Vu l'état d'esprit ambiant, ce nombre ne serait pas difficile à réunir. "Ce serait l'hypothèse la pire pour lui", avec à l'arrivée une probable révocation, souligne un dirigeant, qui juge que "Thierry Lepaon ne mesure pas ce qui monte dans la CGT".
Les 1 % les plus riches posséderont bientôt la moitié de la richesse mondiale
L'ONG Oxfam publie, lundi 19 janvier, une nouvelle étude, consultable en ligne, révélant l'ampleur des inégalités dans le partage des richesses sur la planète. Selon ses calculs, réalisés à partir de données fournies par le Crédit Suisse, la richesse cumulée des 1 % les plus riches de la planète dépassera bientôt celle détenue par les 99 % restants.
Selon Oxfam, « la part du patrimoine mondial détenu par les 1 % les plus riches était passée de 44 % en 2009 à 48 % en 2014, et dépasserait les 50 % en 2016 ». Cela signifie que s'ils continuent à s'enrichir, ils posséderont plus que l'ensemble des autres habitants de la planète réunis. La quasi-totalité des 52 % de patrimoine restant sont aux mains des 20 % les plus riches. « Au final, 80 % de la population mondiale doit se contenter de seulement 5,5 % des richesses », estime le rapport.
ACCÉLÉRATION DES ÉCARTS
La publication de cette étude intervient à quelques jours de l'ouverture, mercredi, du forum économique mondial de Davos (Suisse), coprésidé par la directrice générale d'Oxfam, Winnie Byanyima. Selon elle, « l'ampleur des inégalités mondiales est tout simplement vertigineuse ».
« Le fossé entre les grandes fortunes et le reste de la population se creuse rapidement », poursuit-elle. Selon l'étude de l'ONG, entre 2010 et 2014, la fortune des 80 personnes les plus riches a augmenté de 600 milliards de dollars tandis qu'elle a diminué pour la moitié la plus pauvre de la population. Aujourd'hui, ces 80 personnes se partagent le même montant de richesses que 3,5 milliards autres.
Ces inégalités devront, selon Oxfam, pousser les dirigeants internationaux à s'attaquer « aux intérêts particuliers des poids lourds qui font obstacle à un monde plus juste et plus prospère ».
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/economie/article/ ... 15tPvEK.99