Pour les liens, il n'y a aucune utilité à les laisser clickables , ça augmente le référencement des fachos, déjà ( chacun peut recopier le lien dans son navigateur, ça n'a pas le même effet )
il est inutile de procéder a une dénonciation frontale tant que les deux premiers points ne seront pas clairement élucidés et compris . En effet toute dénonciation non précédée d'une argumentation solide sera , si elle est audible par les principaux intéréssés , comprise par ce derniers comme provenant du camp des "comploteurs " .....
A mon avis les choses ne se posent pas comme ça, malheureusement. Comme le montrent les affaires évoquées ci-dessus, nous n'en sommes pas vraiment à choisir le mode d'attaque, nous en sommes à l'autodéfense.
Il y a déjà quelques temps, j'avais fait part ici de mes inquiétudes concrètes face à la progression des idées, mais aussi de leur audience, et leur incidence sur nos luttes, notamment comme facteur interne de division.
C'est pire maintenant.
De plus, ce qui est important dans cette bataille, ce n'est pas prioritairement la connaissance précise et exacte de leurs théories. Bien au contraire, il faut prendre garde à ne pas sombrer dans le contre argumentaire permanent, ce qui touche pas mal d'antifascistes sincères. Parce qu'on se retrouve vite à débattre de trucs de malades, et le seul fait d'en débattre est une défaite.
Bon, exemple, le Hillard en question. Le type , comme beaucoup d'autres est prolixe, et très doué pour jouer au jeu de la complexité. Normal, il est professeur et pas n'importe ou dans une école de commerce international, très côtée.
De là, la question que ne sont même pas posés les oorgnaisateurs de la soirée. Un professeur de ce type a-t-il quoi que ce soit à apporter en termes de critique subversive, surcontre l'organisation de la production ou même la crise finacière ?
Démonter la thèse du complot, c'est assez facuile avec une analyse de classe et c'est le seul truc qui porte, en réalité.
Parce que ceux qui portent ces thèses ne disent asbolument jamais autre chose que le "capitalisme en lui même est un système sain, ce sont ses dirigeants actulels qui le pervertissent.
Et ils ne peuvent pas dire autre chose parce qu'ils font parties descandidats alternatifs.Et déosrmais considérés comme"crédibles" par une fraction de la bourgeoisie ce qui explique en partie leur audience actuelle