Bien évidemment comme dans tout processus de ce type l'hétérogénéité et les les contradictions sont au rendez- vous mais cela ne me semble pas rédibitoire et ce d'autant plus qu'on y retrouve un certain nombre de concepts que nous avons inaugurés (tels les assemblées générales populaires )
http://forum.lajourneesansimmigres.org/ ... ste-t7.htm
Faisons du 1er mars une journée historique.
Nous, femmes et hommes, de toutes croyances, de tous bords politiques, et de toutes couleurs de peaux, immigrés, descendants d’immigrés, citoyens conscients de l’apport essentiel de l’immigration à notre pays, en avons assez des propos indignes tenus par certains responsables politiques visant à stigmatiser ou criminaliser les immigrés et leurs descendants. Rappelons qu’un immigré est celui qui est perçu comme tel par les autres au-delà même de ses origines. Nous voulons nous réapproprier et réhabiliter ce terme devenu péjoratif par la force de l’instrumentalisation politique.
Nous refusons les stéréotypes véhiculés qui menacent notre cohésion sociale. Nous refusons que les bienfaits passés, présents et futurs des immigrés qui ont toujours construit la France soient ainsi niés d’un trait. Et entendons par ailleurs qu’il nous appartient de les mettre en valeur.
Les immigrés et descendants d’immigrés ont manifesté à maintes reprises pour défendre leurs droits. Et en retour, ils n’ont reçu que mépris ! Aujourd’hui, puisqu’il est convenu que « la consommation est le moteur de la croissance », nous voulons agir sur ce levier pour marquer notre indignation.
Le 1er mars 2005 est entré en vigueur le «code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile» (CESEDA), plus communément appelé le code des étrangers. Cette loi symbolise une conception utilitariste de l’immigration, en d’autres termes, une immigration choisie sur critères économiques. Nous ne pouvions trouver de meilleur jour pour appeler à « une journée sans immigrés ». Nous, immigrés, descendants d’immigrés, citoyens conscients de l’apport de l’immigration à notre pays, sommes tous des consommateurs et nous participons quotidiennement à la croissance de notre pays.
Notre action citoyenne a pour objectif la mise en valeur de l’apport de chacun d’entre nous à la prospérité générale. Nous avons tous le pouvoir d’agir sur notre avenir alors, prenons-le !
Le 1er mars 2010 : Agissons en cessant de consommer et/ou de travailler.
Durant 24 heures, participons à la non-activité économique dans les entreprises, dans les associations, dans la fonction publique, dans les écoles et les lycées, dans les universités, dans les hôpitaux, dans les associations, dans les commerces, dans l’industrie, dans le bâtiment, dans l’agriculture, dans les services, dans les médias, dans la politique…
Pour la première fois en France, nous décidons de ne pas participer à la vie de la Cité. Par cette absence, nous voulons marquer la nécessité de notre présence.
http://www.no-sarkozy-day.fr/
No Sarkozy Day le 27.03.10
Les libertés les plus élémentaires sont bafouées chaque jour un peu plus.
Le principe d’égalité est systématiquement remis en cause, les ponctions se font sur ceux qui ont le moins, les cadeaux vont à ceux qui ont le plus. Le président de la République Française n’est pas le président de tous les français mais un chef de clan.
No Sarkozy Day le 27.03.10
La fraternité, ciment du peuple, est méthodiquement mise en pièces, à la place on installe une politique de la peur des autres, une stratégie du choc.
Nicolas Sarkozy a failli dans son devoir de garant des idéaux de notre pays, il est de notre devoir de nous unir pour exiger sa démission.
Suivant le formidable exemple du No Berlusconi Day, nous simples citoyens, appelons toutes celles et ceux qui veulent agir contre Nicolas Sarkozy et contre sa politique à se joindre au No Sarkozy Day le 27 Mars 2010.
Cette mobilisation se tiendra partout en France à partir de 14 Heure devant les préfectures et les sous préfectures, à Paris place de la Bastille, et dans le monde entier devant les ambassades de France.
Notre mobilisation n’est rattachée à aucun parti, à aucun syndicat, à aucune association. Nous voulons simplement la démission de Nicolas Sarkozy.
A l’issue des manifestations se tiendront partout des assemblées générale populaires, afin de donner la parole au peuple.
Le pouvoir du peuple comme but, le pouvoir du peuple comme chemin, voila ce qu’est la démocratie, voila ce que doit être notre action !