Le Brésil, c'est notre classe qui paie.

Mille-feuilles à tendance séditieuse.

Le Brésil, c'est notre classe qui paie.

Messagepar Léa » Jeudi 24 Fév 2005 22:26

Le Brésil, c'est notre classe qui paie.

Le Groupe Internationaliste ouvrier, au début mai 2004, analysait justement les politiques “progressistes” du Parti des travailleurs et de Lula. Malheureusement, comme nous l’avions prévu, le récent massacre par la police brésilienne le confirme, c’est notre classe qui paie encore de son sang et de sa liberté ces politiques de maintien du capitalisme.


Brésil : L’impasse des politiques “progressistes”

Un million de familles sans-terre vivant dans la misère, tandis qu’un pour cent de grands propriétaires terriens contrôlent 50% de la terre, se voient arracher une réforme agraire promise depuis des lustres; des dizaines de milliers de travailleurs et de travailleuses forcés à descendre dans la rue pour combattre une loi inique s’attaquant aux retraites des employés du secteur public; plus de 7000 sans-abri brutalement expulsés d’un site industriel désaffecté; d’innombrables prolos emprisonnés, d’autres tués pour avoir combattu l’injustice; voilà seulement certaines des nouvelles nous provenant du Brésil depuis quelques mois. Le Brésil, dites-vous? Mais n’est-ce pas là un pays qui a élu un syndicaliste, un soi-disant progressiste à sa présidence à l’automne 2002? Oui camarades, qu’on se le tienne pour dit, la «gauche » est maintenant au pouvoir au Brésil et le capitalisme ne s’en porte que mieux.

Que se passe t’ il donc? Il n’y a pas si longtemps, les radicaux de toutes obédiences jubilèrent lorsque Luiz Inacio Lula da Silva, mieux connu sous le nom plus simple de Lula, le candidat du Parti des travailleurs (PT) prit la tête de l’État avec une majorité électorale énorme de 61%. Au Québec, l’Union des forces progressistes (1), la petite chérie de la gauche canadienne et québécoise émit aussitôt une déclaration [fin 2002] saluant « cette victoire…qui porte l’immense espoir d’un changement social pour les progressistes du monde entier. » Aux États-Unis, la vaste majorité des publications de «gauche » exprimèrent le même espoir. Par exemple, Justice, le journal du groupe trotskiste Socialist Alternative (affilié au Comité pour une Internationale Ouvrière) qui fut légèrement plus critique que la majorité déclara : « L’élection de Lula ouvre une nouvelle espace de croissance pour la gauche brésilienne et est symptomatique d’une radicalisation grandissante à travers l’Amérique latine.»

Le même enthousiasme prévalait dans les milieux syndicaux, dans les ONG et chez une importante pluralité des organisations prétendument socialistes ou révolutionnaires à travers le monde. Le PT n’ est-il pas la force principale derrière le Forum Social Mondial et ne dirige-t-il pas le Conseil municipal de Porto Allegre qui permet aux gens de participer au processus de décision sur les dépenses générales de la municipalité (2)? La direction du PT n’est-elle pas formée du nec plus ultra des leaders progressistes de la planète? Si Un autre monde est possible, sûrement que ces camarades sont parmi ses guides et ses consciences les plus probes…

En fait, depuis la création du PT il y a plus de 20 ans, la « gauche » mondiale sème l’espoir (et colporte le très vieux mensonge) qu’il peut y avoir une façon humaine et progressiste de gérer le système capitaliste. Il n’y a rien de neuf là dedans. Pour l’essentiel, les mêmes forces sociales réformistes répandent la même illusion mortelle depuis des générations. Avant la Première Guerre mondiale, c’était le réformisme déclaré qui corrompait et étouffait la Deuxième Internationale, résumée dans la formule : « Le mouvement est tout, le but ultime n’est rien », lancée par le théoricien social-démocrate Edouard Bernstein. Après l’échec de la Révolution Russe au début des années 20, ce fut la théorie révisionniste du « Socialisme dans un seul pays » qui servit à soutenir les fabrications staliniennes masquant la construction brutale d’une économie capitaliste d’État en URSS. Durant les années 30, ce fut la mobilisation universelle en appui à l’Espagne républicaine. Elle fut suivie bien sûr, par les illusions de l’antifascisme démocratique durant la Deuxième Guerre mondiale et la promesse d’un nouveau monde de justice et de paix, éclairé par les décisions de la Conférence de Yalta, prêché notamment par le stalinien servile Earl Browder (jusqu’à ce que les premières salves de la Guerre Froide amènent son maître Staline à le congédier.) Puis, dans les années 50, ce fut la Yougoslavie de Tito et la Chine de Mao qui titillèrent bon nombre dans les cercles trotskistes et les autres secteurs radicaux. Le jalon suivant sur la liste des illusions tragiques fut l’appui quasi-universel des « forces progressistes » pour toute une série de « luttes de libération nationale », de l’Algérie et Cuba jusqu’au Vietnam et au Cambodge. Toutes ces guerres sanglantes se conclurent par des dictatures de partis et de soi-disant économies mixtes. En bout de compte, le XXème siècle termina son itinéraire cruel avec les attentes déçues d’un nombre toujours plus important de gouvernements et de mouvements dits progressistes : Solidarité en Pologne, des partis sociaux-démocrates ou travaillistes élus alternativement dans de nombreux pays européens et latino-américains, des ministres verts et féministes disposant de mandats importants dans de nombreux gouvernements; et tout ce beau monde appliquant avec la même dévotion que la droite, les mêmes diktats de leur maître : le capital. Le tout, couronné par la farce zapatiste opérant sur les prémisses d’une « révolution négociée.» Au moins, lorsque Lénine critiquait les « réformistes armés », ces réformistes-là ne bénéficiaient pas de plus de cent ans de recul par lequel ils pouvaient corriger leurs politiques banqueroutières.

Alors, avec le début de ce nouveau siècle, le temps n’ est-il pas venu de dresser le bilan de ce qui a causé tous ces échecs dramatiques par le passé. Malheureusement, ceux et celles qui s’en tiennent à la contestation, aux protest politics, qui espèrent réformer le capitalisme ou qui pensent le gérer plus humainement, ne s’en préoccupe absolument pas. Par exemple, le mouvement «anti » ou altermondialiste mène aussi ses supporteurs dans un cul-de-sac lorsqu’il promeut le commerce « équitable », lorsqu’il se bat pour un protectionnisme nationaliste et lorsqu’il exerce un lobby sur les forums internationaux du capital. La minorité qui prétend construire un mouvement anticapitaliste fondé sur des politiques identitaires plutôt qu’un point de vue de classe ne va guère plus loin que le bris de quelques vitrines ou le simulacre d’une condamnation morale futile, tout en se soumettant de fait (consciemment ou non) à une capitulation opportuniste ouverte au système. « Ceux qui n’apprennent pas de l’Histoire sont condamnés à la répéter. » (3)

Suite à l’éclatement de la plus récente «baloune » réformiste au Brésil, de nouveaux mirages devront être concoctés par la bourgeoisie et ses singes savants de la prétendue «gauche ». «Marx a très judicieusement dit que plus grand était le développement de l’antagonisme entre les forces productives croissantes et l’ordre social existant, plus l’idéologie de la classe dominante s’imbibe d’hypocrisie. En outre, plus la réalité dévoile le caractère fallacieux de cette idéologie, plus le langage utilisé par la classe dominante devient sublime et vertueux ». (4) Porto Allegre et Mumbai, les ONG, ATTAC, les syndicats et les partis politiques de «gauche » sont les forums et les courroies de transmission de la propagande sublime et vertueuse de la bourgeoisie. Ses mantras sont : citoyenneté, concertation, réalisme économique, solidarité sociale, équité et paix. Aussi longtemps que les leçons de l’histoire ne sont pas assimilées par notre classe, ces chants de sirène mèneront inévitablement de nouvelles générations dans les pièges mortels du réformisme.

Le PT du Brésil est une arnaque. Mais le Brésil pourrait être une des dernières déceptions cruelles causées par les mensonges de la bourgeoisie, si les prolos en viennent à comprendre que des décennies de défaites et de reculs n’auraient pu être possibles sans la complicité active de prétendus révolutionnaires et/ou de réformistes déclarés, colportant le mensonge d’un capitalisme sans exploitation et d’un changement sans révolution. La tâche des révolutionnaires est de dire ce qui doit être dit. Nous avons des ambitions plus élevés que de mener la claque pour toute la panoplie des plus récents rackets réformistes. Nous faisons appel à tous les travailleurs et à toutes les travailleuses qui veulent aider l’humanité à se sortir de l’impasse actuelle, à s’organiser sur la base des leçons historiques exprimées dans le programme révolutionnaire et, ainsi, construire la seule véritable alternative à l’ordre bourgeois. En attendant, tout ce que le capitalisme peut nous offrir est la crise, l’oppression, la dévastation environnementale et la catastrophe perpétuelle des guerres locales sur le chemin qui nous mène à la prochaine guerre mondiale.

Socialisme ou Barbarie. Il n’y a pas d’autre voie!

Le Groupe Internationaliste Ouvrier,
Section nord-américaine du Bureau International pour le Parti révolutionnaire, mai 2004.



(1) L’UFP est un parti politique constitué de divers groupes trotskistes (notamment, les affiliés du Secrétariat unifié de la IVème Internationale et de la Tendance socialiste internationale), des stalino-brejneviens du Parti « communiste » et de diverses dissidences nostalgiques du PQ. Il est l’équivalent local des Alliances socialistes ayant vu le jour en Australie et au Royaume-Uni. Il espère un « succès » électoral du genre obtenu par le Scottish Socialist Party, ou mieux… le PT du Brésil.
(2) En fait, cette expérience de « démocratie municipale participative » ou celle qui a prétendument eut lieu à Montréal, il y a une quinzaine d’années sous le RCM (célébrée à travers le monde par les intellectuels libertaires (sic) de la tendance Bookchin-Roussopoulos) n’est rien de plus que ce que les révolutionnaires nommaient autrefois le «socialisme d’égout.» En réalité, les prolos de Porto Allegre ne décident que d’un petit pourcentage du budget global et n’obtiennent que les miettes que la classe dominante doit leur concéder en vue de maintenir une main d’œuvre fonctionnelle, tout en préservant le contrôle des événements qui pourraient mettre en cause sa domination.
(3) George Santayana (1863-1952)
(4) Gueorgui Plekhanov (1856-1918), Fundamental Problems of Marxism, notre traduction.


http://www.cmaq.net/fr/node.php?id=19991
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Messagepar lucien » Samedi 26 Fév 2005 0:35

Le Groupe Internationaliste Ouvrier,
Section nord-américaine du Bureau International pour le Parti révolutionnaire, mai 2004.
C'est qui ?? :?
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Messagepar Léa » Samedi 26 Fév 2005 1:56

lucien a écrit:
Le Groupe Internationaliste Ouvrier,
Section nord-américaine du Bureau International pour le Parti révolutionnaire, mai 2004.
C'est qui ?? :?


Ben là, tu me pose une colle !?.. :wink:
C'est justement pour ce genre de détails non-anodins qu'il est important de se tenir au courant. J'ai initiallement fait un couper/coller à partir du site web du CMAQ (Centre des médias alternatifs du Quebec - Sortir de la pensé unique) Le lien est en bas de l'article précédent. Cela dit, j'ai aussi trouvé ceci : www.ibrp.org/
de ce dernier site web, l'article suivant

Auto-organisation, Anticapitalisme :
voilà un véritable programme de lutte !


Une nouvelle fois, les syndicats nous appellent à une «journée d’action», à une manifestation. Les raisons ne manquent pas d’entrer en lutte. Il y a eu la réforme des retraites qui a amputé notre futur salaire de vieux travailleurs de 10 à 40%. Il y a les augmentation des salaires inexistantes ou dérisoires, largement inférieures à l’inflation, officielle ou réelle. La remise en cause de la loi sur les 35 heures qui ne porte que sur le temps de travail, mais ne touche pas à la flexibilité imposée par le gouvernement «socialiste» de l’époque. Les fermeture d’entreprises, restructurations et licenciements. La précarité généralisée, le temps partiel imposé. L’augmentation des cotisations pour la Sécu, la diminution des remboursements, la mise en place d’un service à deux vitesses. Le démantèlement de services publics à travers des lois (par exemple loi d’orientation sur l’école) ou des évolutions et restructurations comme à La Poste ou SNCF, remettant en cause les droits des travailleurs, augmentant le coût final pour les usagers et permettant de drainer les profits importants dégagés par ces secteurs vers le capitalisme privé. La liste n’en finirait pas : Nous sommes bien accoutumés avec ces attaques, pratiquées par tous les gouvernements de droite ou de gauche depuis des années. Elles constituent même l’axe essentiel des politiques de ces gouvernements qui se succèdent années après années.

La raisons pour lesquelles il est important de lutter, de manifester et de faire grève ne manquent donc pas. Mais il faut se demander : pour qui lutterons nous ? qui tirera profit de nos manifestations et de nos grèves?

C’est en ordre dispersés, corporation par corporation, que ces syndicats ont appelé les seuls fonctionnaires et assimilés à faire grève les 18, 19 et 20 janvier dernier. C’est en fait à une lutte symbolique que nous sommes conviés. Les syndicats veulent d’un côté montrer aux travailleurs qu’ils sont censés représenter qu’ils agissent et d’un autre côté montrer au patronat et gouvernement qu’ils sont réellement suivis par leur base. C’est que les syndicats ont inscrit sur leur drapeau la défense de l’entreprise et de la nation. Et nous (travailleurs du secteur public ou du secteur privé ; fonctionnaires, travailleurs sous contrat à durée indéterminée, précaires ou sans emploi) qui les suivons perdons de tout côtés et subissons une précarisation de plus en plus généralisée, à cause de l’absence d’une minimale, d’une réelle et concrète lutte proclamée par les syndicats.

Le véritable motif de cette énième lutte symbolique est bien la défense des syndicats eux-même, de leur fonction institutionnelle de médiation, d’intermédiaire. Le rôle des syndicat est de nous «vendre», à nous les prolétaires, les réformes, les changements et restructurations – qui sont toujours incontournables ! – que le patronat ou l’Etat à préparé. Mais il faut aussi aux syndicats se présenter, face aux patrons et gouvernements, comme seul capables de nous faire avaler ces pilules.

Si nous voulons nous défendre réellement contre toutes ces attaques, c’est dans des luttes réelles que nous devons nous engager. Organisées à partir de la base, s’élargissant le plus possible, constituant sur les lieux de travail des comités de défense et d’organisation autonomes, basés sur des Assemblées Générales et des délégués révocables. C’est nous, les travailleurs, et non des syndicats ou des politiciens, qui devons défendre nos intérêts. Contre les logiques de négociations et de partenariat qui visent à conserver le capitalisme, à nous faire passer pour inévitables la dégradation de nos conditions de vie et de travail. Contre les illusions d’une harmonie possible entre les classes, l’illusion de l’existence d’un intérêt national, commun, entre classe ouvrière et bourgeoisie, cherchons l’unité de notre classe, unifions nous autour de nos intérêts exclusifs, aussi bien immédiats que généraux.

Tous unis en tant que classe antagonique au capitalisme, contre la bourgeoisie et ses appendices. Pour réagir concrètement et mettre fin à l’exploitation bourgeoise et à ces gouvernements qui l’appuient.

Bilan & Perspectives


Section en France du BIPR - Bureau International pour le Parti Révolutionnaire
BP 45 13266 Marseille cedex 08
bilan.perspectives@laposte.net


Si tu as des infos complémentaires, n'hésite pas.... A priori, je penserais à un groupe révolutionnaire autonome au Brésil qui essaye de s'internationaliser. D'après leurs liens, leurs références seraient un mélange entre Marx, Lénine, et Engels. :?:
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Messagepar lucien » Samedi 26 Fév 2005 10:01

Des M-L effectivement, peut-être plus implantés qu'on ne le croit et à mon avis plus très autonomes ! :lol:
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Messagepar Paul Anton » Samedi 26 Fév 2005 11:21

Leur pensée théorique n’incorpore t-elle pas une synthèse entre le léninisme et le conseillisme (ex:Rosa Luxemburg) ? D’ailleurs, je vous invite à redécouvrir l’histoire de ces courants de pensée par la lecture de l’ouvrage de l’écrivain (bourgeois) Christophe Bourseiller / Histoire générale de l’ultra-gauche. :wink:
Dernière édition par Paul Anton le Samedi 26 Fév 2005 11:44, édité 2 fois.
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Messagepar lucien » Samedi 26 Fév 2005 11:30

pierre chauvin a écrit:Est ce que leur pensée théorique s'inspire de Rosa luxembourg? 8)
T'as la réponse à ta question ?!
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Messagepar Paul Anton » Samedi 26 Fév 2005 11:45

Je n'ai plus le temps de modifier mes messages. :wink:
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Messagepar Léa » Samedi 26 Fév 2005 12:03

Heu, j'ai une proposition :!:
Puisqu'il semblerais que le débat (interressant) risque de déborder de cette rubrique France & International - Luttes globales..., je propose de le continuer dans la rubrique Pour l'élargissement des luttes - Textes contre le corporatisme....; si cela ne dérange personne, et puisque cette dernière rubrique ne comporte qu'un seul sujet de débat intitulé : POUR UNE UNITÉ DES LUTTES SOCIALES, peut être que cela semble plus adéquate.
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Messagepar Paul Anton » Samedi 26 Fév 2005 12:07

Pour la modification des messages, c'est lucien qui s'en charge. :wink:
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Messagepar lucien » Samedi 26 Fév 2005 12:37

Urbain a écrit:Heu, j'ai une proposition :!:
Puisqu'il semblerais que le débat (interressant) risque de déborder de cette rubrique France & International - Luttes globales..., je propose de le continuer dans la rubrique Pour l'élargissement des luttes - Textes contre le corporatisme....; si cela ne dérange personne, et puisque cette dernière rubrique ne comporte qu'un seul sujet de débat intitulé : POUR UNE UNITÉ DES LUTTES SOCIALES, peut être que cela semble plus adéquate.
Ca se poursuit donc ici :

POUR UNE UNITÉ DES LUTTES SOCIALES

ou là :

Parti-Syndicat-Conseil...
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Messagepar Invité » Samedi 26 Fév 2005 15:01

C'est ce qu'il me semblait, merci :wink:
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