Kazincki

Mille-feuilles à tendance séditieuse.

Kazincki

Messagepar michel » Mercredi 14 Juin 2006 17:33

yo !

quel bouqin lire pour se faire une (mauvaise ?) idéé de TK ?
michel
 

Re: Kazincki

Messagepar goldfax » Mercredi 14 Juin 2006 20:36

michel a écrit:yo !

quel bouqin lire pour se faire une (mauvaise ?) idéé de TK ?


:?: :?:

On t'en pose des questions ? :lol: :lol: :lol: :lol:

C'est qui TK ? :roll:
goldfax
 

Messagepar soleilnoir » Mercredi 14 Juin 2006 20:39

ouais d'abord ! :D

c ki :?: :?: :?: :?: :?: :?: :?: :?: :?: :?: :?: :?:
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Messagepar michel » Mercredi 14 Juin 2006 20:42

ben theodore kazinski (comme le titre du sujet quoi....) attention faites pas les mariolles, je crois qu'il y a des specialistes du sujet ici qui nous en diront plus :lol:
michel
 

Messagepar goldfax » Mercredi 14 Juin 2006 20:46

michel a écrit:ben theodore kazinski (comme le titre du sujet quoi....) attention faites pas les mariolles, je crois qu'il y a des specialistes du sujet ici qui nous en diront plus :lol:


Comment tu te défiles, toi !! :lol: :lol:
goldfax
 

Messagepar michel » Mercredi 14 Juin 2006 20:53

ou la la moi je veux juste me renseigner avant d'en dire plus sur ce sujet qui me semble suciter quelques contreverses 8)
michel
 

Messagepar lucien » Mercredi 14 Juin 2006 22:45

C'est marrant que t'en parles et qu'en cherchant la Nef des fous, je tombe sur un sité téléologique présenté cette semaine dans une autre discussion.

«La nef des fous», une fable de Theodore Kaczynski (alias Unabomber)

michel aura bien entendu également lu la réponse de Jean Picard.

je suppose que la lecture de La société industrielle et son avenir est un incontournable pour qui souhaite mieux comprendre le personnage...
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Messagepar tomatok » Jeudi 15 Juin 2006 0:30

bah en gros la médecine c'est pas bien parce-que ça permet de sauver des gens qui auraient du disparaitre avec la sélection naturelle de l'espèce et donc faut lutter contre la médecine !
voilà, je crois que j'ai fait un bon résumé de l'essentiel à retenir de ce petit nazillon :evil:
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Messagepar miguelito » Jeudi 15 Juin 2006 9:03

Il serait bon de ne pas foncer tête baissée et de charger sitôt qu'on croit avoir levé un lièvre.
Ce débat est à l'évidence destiné à polémiquer sur Kaczynki. Cela est à mon sens assez inutile.
Il faut préciser ceci : les téléologues ne sont pas partisans des théories de Kaczynski, loin s'en faut : http://www.teleologie.org/OT/deboard/3202.html
J'ai mis un lien vers les sites des téléologues. Certains savent que j'ai répondu au texte de Jean Picard cité plus haut dans les colonne d'A trop courber l'échine. De la à conclure que les télélologues, le bulletin acrate et unabomber, c'est la même chose, il y a une marge !
Ne faites pas de raccourci, prenez le temps de lire non seulement Kaczynski, ce que j'en ai dit par rapport à la critique de Picard, et surtout prenez le temps de lire les textes des téléologues.
Je mets le lien vers ma réponse à Jean Picard : http://listes.rezo.net/archives/cntait- ... 00000.html
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Messagepar Paul Anton » Jeudi 15 Juin 2006 15:23

J’ai lu le livre la société industrielle et son avenir et j’en suis resté interloqué par cette aspect précisément : le bien être passe par un retour à l’état d’innocence propre à l’enfant mais sans en sortir.

...

Je vais relire tout ça.
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guillermo

Messagepar guillermo » Jeudi 15 Juin 2006 15:38

jai lu le manifeste unabomber et jai bien aimé lacaracterisation du gauchisme , en Argentine on trouvait ce texte facilement juste avant les evenements du 2001,en format de livre et au prix trop bas, meme si ce a chaqun de se faire une opinion , jai trouve le texte interesant du point de vue anti industrialiste .
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Messagepar michel » Jeudi 15 Juin 2006 15:45

Ce débat est à l'évidence destiné à polémiquer sur Kaczynki. Cela est à mon sens assez inutile.


polemiquer je ne sais pas, je ne connais pas. Si polemique il doit y avoir, je pense que c'est le lieu ideal. Quand à savoir si c'est inutile, à voir les reactions opposées que cela souleve, je ne crois pas....

enfin j'ai pose une question assez simple il me semble. Je ne connais pas. Je commence par quoi ?
michel
 

Messagepar miguelito » Jeudi 15 Juin 2006 16:07

Pour se faire une idée, autant lire directement les bouquins de TK. On trouve assez facilement La nef des fous (mis en ligne ici d'ailleurs) ainsi que La société industrielle et son avenir.
Mais pourquoi vouloir se faire une mauvaise idée ?
miguelito
 
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Messagepar michel » Jeudi 15 Juin 2006 16:18

parceque apparement ça a fortement déplu à certains compagons. bon j'essaye d'attraper ces deux et de me faire une idéé. et y'a t il une reference sur kazinscki ?
michel
 

Messagepar Paul Anton » Jeudi 15 Juin 2006 16:26

:arrow:

http://fr.wikipedia.org/wiki/Anarcho-primitivisme

Tu vas y trouver une biographie de TK.
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Messagepar miguelito » Mercredi 21 Juin 2006 15:32

Pour une meilleure compréhension du débat, je mets ci-dessous le premier artcile paru dans A trop courber l'échine (n°15) qui répondait au texte de Jean Picard.

Sur la Nef des fous
Nous lisons dans le Combat Syndicaliste (édition de la CNT-AIT de Midi-Pyrénées) une critique du texte de Théodore Kaczynski (plus connu sous le pseudonyme d’Unabomber et auteur de La société industrielle et son avenir) intitulé La Nef des fous. Résumons l’histoire : un bateau vogue tout droit vers la catastrophe. A son bord, passagers et marins ne pensent qu’à leur intérêt égoïste et demandent au capitaine de satisfaire leurs revendications personnelles. Seul le mousse voit bien la situation et dénonce la stratégie des officiers qui mettent tout en oeuvre pour que la
paix sociale règne à bord. Le hic, c’est que personne ne veut entendre ce que dit le mousse et que personne ne prend la mesure de l’imminence du naufrage qui va avoir lieu.
L’auteur de l’article en question reproche au mousse sa méthode. Selon lui, le mousse s’est isolé en montrant les contradictions de chacun alors qu’il aurait mieux fait de créer et maintenir, à travers les revendications, un état conflictuel propice à la prise de conscience, la réflexion et l’action.
En présentant les choses de la sorte, le militant anarcho-syndicaliste opère une distinction entre les revendications immédiates et la nécessité d’abolir le système de domination tout en maintenant que tout cela n’est pas incompatible. Ce faisant, il oublie que la destruction du système est une nécessité immédiate car, au train où vont les choses, notre avenir risque fort de ressembler réellement à celui de la nef des fous. De surcroît, il considère que c’est la façon de faire du mousse qui le conduit à
l’isolement stérile, tandis que nous pensons au contraire que ce sont les méthodes utilisées par le pouvoir et les égoïstes qui visent à isoler les extrémistes. A ce sujet, nous aimons à rappeler que tout le monde est, à sa façon, un extrémiste. Les individus les plus neutres ou les plus consensuels sont des extrémistes de la neutralité et du consensus… Quant à ceux qui nous qualifient d’exaltés ou d’enragés, nous rétorquons que ces mots sont plutôt flatteurs : nous préférons l’exaltation et la rage à l’ennui et à la terreur. Les fameuses revendications immédiates ne sont pas seules mises en cause ; la façon dont elles sont défendues par ceux qui les portent est elle aussi mise en pièce dans l’allégorie de Kaczynski. Que l’anarcho-syndicalisme tente d’opérer la jonction entre ces revendications et la rupture révolutionnaire est louable, mais ça n’explique pas pourquoi il ne réussit pas. L’exemple de l’Espagne est pourtant parlant : l’une des raisons pour lesquelles la révolution initiée en 1936 à été un échec réside dans le fait qu’une bonne part des révolutionnaires a cru qu’il fallait d’abord gagner la guerre contre les fascistes avant de continuer la révolution. Selon nous, les revendications immédiates ne retardent pas l’avènement d’un hypothétique grand soir.
Elles le rendent illusoire et, au final, impossible. Tant qu’une majorité secontentera des améliorations ponctuelles de leur sort sans voir qu’ils sont assis sur la branche qu’ils sont en train de scier, nous ne pourront rien entrevoir de bon. D’autant plus qu’il serait aberrant de refuser de voir
que les revendications partielles nous placent le plus souvent dans la position de quémandeurs. Qui plus est, dorénavant elles expriment plus souvent l’envie de voir satisfaire non pas des besoins (nous pensons
d’ailleurs que seule une société réellement libre est en mesure de définir quels sont ses besoins) mais des caprices. Ainsi en est-il de tous les combats progressistes qui exigent une reconnaissance de droits (droits de
mariage, d’adoption, de reconnaissance sociale, de tripatouillages chirurgicaux ou génétiques, etc.)
Nous considérons que la mise en avant de la critique radicale du système dans son ensemble est une priorité. Les revendications immédiates peuvent éventuellement servir de prétexte pour faire avancer notre vision des choses dans la mesure où elles se présentent comme de possibles brèches dans lesquelles nous pouvons nous engouffrer. Bien sûr qu’il faut
lutter pour que, par exemple, les « sans papiers » ne soient plus traités comme ils le sont. Mais sans taire la problématique profonde qui engendre leur situation actuelle. Ce faisant, les actes suivent d’euxmêmes,
dans la mesure où notre voix sait se faire entendre. Par exemple, la lutte des sanspapiers à récemment débouchée sur la lutte contre les centres de rétentions. Très rapidement, une analyse radicale s’est fait jour et des actions l’ont traduite concrètement dans les faits : incendies de
chantiers, attaques d’agences Bouygues (qui construit ces centres de rétention) allant du simple placardage d’affiches sur les vitrines à
la casse de celles-ci, en passant par le sabotage de serrures. A chaque occasion, le lien se fait avec d’autres luttes. C’est ainsi que des représentants du P.S. se sont fait agresser au cours de manifestations, que d’autres cibles sont touchées pour leur implication plus ou moins lointaine dans la construction de ces centres. Que de tels actes se développent et soient repris par la population et la situation peut très vite
devenir insurrectionnelle voire révolutionnaire. Souvenons-nous de l’Italie
des années 70 où les luttes étaient autonomes et intenses. Regardons du côté de la Kabylie, avec ses grèves, ses boycotts, ses émeutes, ses attaques de gendarmerie et de bureaux de vote, qui sont le fait d’une
population qui a déclaré la guerre au pouvoir. Entretenir cette mémoire et faire connaître les conflits en cours est une nécessité.

Cette méthodologie rompt avec le jeu des revendications/négociations. Elle brise le respect tout démocratique du pouvoir car elle n’attend rien de lui. Au contraire, elle le prend directement pour cible et oeuvre à ne plus en dépendre aussi bien matériellement que politiquement. De surcroît, le type de solidarité qu’elle invente et qu’elle requiert dépasse l’entraide
ponctuelle qui se fait jour à chaque fois qu’une lutte se développe. Le message est simple : ce qu’une poignée d’individus peut faire (saccager une agence d’intérim, squatter une maison, faire un potager collectif,
faucher un champ d’OGM, saboter son outil de travail, faire dégénérer une grève, etc.) n’importe qui peut le faire à son tour. La multiplication des tels actes portés par une remise en cause profonde des conceptions
communément admises est en tout différente du travail militant qui vise avant tout à développer une organisation. Enfin, nous ne pensons pas que l’apathie générale qui règne dans nos contrées puisse s’expliquer par un manque de conscience.
Chacun d’entre nous est apte à prendre la mesure de l’état actuel du monde. Tenter de convaincre ceux qui croient encore aux mensonges ou qui s’illusionnent sur une hypothétique amélioration de leur état est un
sport réservé aux militants. Nous n’avons pas assez d’énergie à dépenser là-dedans. Mais arrêtons nous un moment sur ce point : nous pensons donc que le problème ne réside pas tant dans la conscience mais plutôt dans la confiance et dans la détermination à lutter. Sans doute le capitalisme puise une bonne part de sa force dans son immense capacité à mystifier ses victimes. C’est ainsi qu’il répand un énorme mensonge : il nous persuade que nous dépendons totalement de lui. La peur de
perdre ce lien de dépendance s’exprime clairement dans la crainte du chômage et avec sa soeur jumelle la défense de l’emploi et de l’économie. Ce faisant, il parvient à faire de nous ses complices, ses
collaborateurs. Pourtant, la vérité est tout autre, elle est même inverse à cet odieux mensonge : c’est le capitalisme qui dépend de nous. Cette vérité, nous devons la clamer sans relâche, dussions-nous nous faire
encore plus d’ennemis. Car elle n’est pas toujours agréable, ni même évidente, pour beaucoup. Pour certains, elle est tout
bonnement scandaleuse.
Il serait pour autant erroné de croire que notre lutte est élitiste ou avant-gardiste. C’est bien au contraire le militant qui veut convaincre qui endosse un rôle d’avantgarde.
En ce qui nous concerne, nous agissons pour notre propre compte et ne
parlons pas à la place d’autrui. Chacun peut disposer à sa guise de ce que nous semons par le geste, la parole ou l’écrit, et tant pis pour ceux qui ne veulent pas comprendre !
Les élitistes sont ceux qui prétendent expliquer les choses aux autres. Nous développons nos analyses et les soumettons à la confrontation sans souci de ménager qui que ce soit, y compris ceux qui sont susceptibles de nous rejoindre. Ce n’est pas en arrondissant les angles que nous trouverons nos alliés. Notre stratégie implique donc que nous soyons en mesure de saisir la moindre opportunité se présentant à nous. Cela
signifie que nous sommes porteurs d’une volonté de rupture dans le train-train quotidien qui doit pouvoir s’exprimer n’importe quand. Notre avons dit que notre vie devait être la guerre contre la domination ce qui entraîne pour conséquence que nous cassions la routine et les habitudes qui nous enferment dans ce monde. A la différence du militant qui est toujours disposé à concéder à l’ennemi un peu de terrain et à composer avec les plus tièdes, nous préférons encore trancher. Nous n’avons personne à séduire ou à convaincre.
Nous avons cessé d’attendre, nous nous organisons et comptons bien mener notre barque là où nous le souhaitons, en tous les cas, en évitant les voies qui mènent assurément au naufrage et au désastre.
miguelito
 
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Messagepar Paul Anton » Jeudi 17 Aoû 2006 20:29

Alors le sujet est clos sur TK et le primitivisme :?: :o
"Salut Carmela, je suis chez FIAT ! Je vais bien... Si, si, nous pouvons parler tranquillement, c'est Agnelli qui paye !"
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Une question de méthode

Messagepar Federica_M » Jeudi 17 Aoû 2006 23:21

Je suis d'accord en tout point avec cet article de miguelito.

Aprés la question qui reste - et restera encore longtemps - c'est celle de la méthode. Le fameux Que faire ? de Vladimir.

Je suis d'accord avec le fait de dire que les occupations de locaux, les saccages de ceci ou cela, les squatt, les jardins potagers sont autant de petits possibles ici et maintenant, qui contribuent au mouvement révolutionnaire.

Mais cela ne fait pas pour autant la révolution. Car pour en finir avec ce monde aliéné, on ne pourra pas se contenter de ces micro actions ici ou là. Il est nécessaire de passer par une phase de massification de la lutte (ce qui ne veut pas dire une seule et unique foule compacte et massive derrière le drapeau du parti-syndicat [rayer la mentin inutile]) Mais il faudra bien l'extension et la géneralisation de ces actes et actions.

C'est là que je trouve que ton argumentaire pêche un peu. Car je n'entrevois pas de perspective dans ce sens dans tes propositions (à part une sorte d'exemplarité (si tous les gars du monde voulaient bien se donner la main pour squatter ...) que pourtant tu critiques dans le militantisme-boy scout ... )

OK, tu vas me répondre que tu ne fais pas ça pour un nous collectif mais pour toi. Certes.

Mais dans ce cas, le mousse ne choisit il pas plutôt de sauter du navire (déserter) pour esayer, en nageant, de rejoindre une ile perdue oú il pourra vivre en ermite (qui est dérivé du mot grec qui veut dire désert ...) avec un phantasme de paradis terrestre perdu à la Robinson Crusoé (vendredi en moins) ? Ce faisant, il risque quand même de mourrir d'épuisement avant d'avoir réussi à découvrirune ile...

En ce qui me concerne, je fais le choix de plutôt essayer la solution collective en mettant une chaloupe à la mer. Et comme dirait Domenech (l entraineur de l'équipe de france de foot. Son père était à la CNT espagnole, c'est pour dire la référence...) "on gagne ensemble ou on meurt ensembles"

La question de la méthode reste posée.
Federica_M
 
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Re: Une question de méthode

Messagepar michel » Vendredi 18 Aoû 2006 7:57

Federica_M a écrit: Le fameux Que faire ? de Vladimir.


Bon, je vois que la recup' bolchevik a encore de beaux restes :x non seulement lenine n'a pas inventé les soviets mais il n'a pas inventé "Que Faire ?", il a repris ce titre en hommage à l'ouvrage du même nom du nihiliste Nicolaï Tchernychevski, publié en 1863, qui est le livre fondateur du mouvement révolutionnaire russe. Tous gens qui ont été à l'école en URSS le connaissent. D'ailleurs il me semble bien (à vérifier) que c'est indiqué dans les toutes premières pages du Que Faire ? de lénine.
En conséquence tout militant révolutionnaire dine de ce nom se doit de dre "Le fameux Que faire ? de Nicolaï Tchernychevski" plutot que l'usurpateur de "Le fameux Que faire ? de Vladimir." Image
michel
 

Messagepar tomatok » Vendredi 18 Aoû 2006 16:03

arf quand j'ai vu que federica a écrit que faire de lenine j'étais sur que michel passerait derrière uniquement pour rétablir la vérité à ce sujet... :lol:
et je reconnais bien là le sens de la citation de federica aussi, après star wars voici domenech l'anarchosyndicaliste (la preuve son père était à la CNT :lol: :lol: )
alala
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