goldfax a écrit:J'ajouterai:
Le capitalisme, qu'il soit malade ou pas, aidons-le à crever !!!
ouah hé... n'importenawak hé ton slogan hé !?;:§.¨¨¨¨???!!!!
Regarde mon mien hé, il est bien meilleur que le tien hé euh...
Le capitalisme est malade ?
Achevons-le !
Comme quoi, heing, le débat au moins sert à enrichir nos slogans...
Bon trêve de sarcasme, je sais pas si c'est votre ressenti mais y'en a un peu marre d'être dans le sillon des merdias : je m'eïxsplik : quand les merdias font leurs scoops à coup d'hystériques embardées sur un sujet données, vla ti pas les militants politiques de TOUS bords qui s'excitent sur le nonosse...
A peine les merdias nous retirent le nonosse de la gueule que, tout sage, le militant rentre dans sa niniche...
La niniche internet de préférence; et encore il y revient dans sa niniche que si déjà il a osé en sortir... ce qui n'est pas le moins sûr.
Historique récent :
- 1ère étape pendant 2 semaine la crise fait la une de tous les torchons parlés et écrits. ----> hystérie collective, tous le monde en parle pour la confirmer comme pour l'infirmer...
bref le phénomène est bel et bien là, consommé par ses chroniqueurs comme par ses détracteurs.
- 2ème étape : les journaleux, membres patentés de la bourgeoisie, ont tellement les fois qu'ils s'auto-censurent et minimalisent le phénomène, quitte même à ne plus en parler... ---->Plus personne n'en cause, ou presque...
Certains se payant même le luxe de nier ou de continuer de nier le
bouleversement psychologique collectif bien réelle qu'il a occasionné quelques jours plutôt...
Perso, l'activité intellectuelle ne m'intéresse qu'à partir du moment où il lui correspond
une action proportionnée...
Sans rentrer dans l'insurectionalisme d'avant l'heure, je trouve le milieu libertaire bien peu réactif et c'est peu dire !
Perso, le fait de savoir si crise il y a ou pas, c'est très intéressant et important certes, car nous avons bien sûr besoin d'un débat idéologique et public pointu; mais ce débat doit-il être notre unique "action" ??
Non bien sûr !
Perso, je pense que l'affichage avec de bons slogans tout frais et bien adaptés au contexte actuel est en tous cas une des actions les plus simples qui s'offrent à nous en ces temps de....
questionnement collectif.
Et il y a évidemment bien d'autres choses encore à inventer à ré-inventer à imaginer ou à ré-imaginer...
Ou bien le milieu libertaire serait-il fatigué ?
Si c'est le cas alors il nous faudra endosser la co-responsabilité de l'émergence des insurrectionalistes d'avant l'heure et des autres révolutionnaires de pacotille... prenant la place que nous leur abandonnerions, avec les conséquences que cela impliquerait.
Autrement, par chez vous comment les gens réagissent-ils, qu'est-ce qui se dit dans la rue, ou ce qui ne se dit pas ou plus ?