Paris Plage 2006 - Des élues aux seins nus

Les luttes en France...

Paris Plage 2006 - Des élues aux seins nus

Messagepar Léa » Vendredi 21 Juil 2006 1:05

Image

Paris plage : Des élues aus seins nus

En effet le Docteur Camille Cabral élue des verts à la mairie du 17ème ardt. et Madame la Baronne élue au sein de l’UMP au comité de circonscription dans le 16ème ardt. de Paris serons toute les deux à Paris plage le 21 juillet 2006 à 11H30 devant la piscine de Paris plage

Et oui ces deux militantes activistes pour le droit des Trans , se mobilisent malgré leur clivage politique car toutes deux, très humanistes, pensent qu’entre autre les mentalités et les actes doivent évoluer, car comme vous le savez même si les Trans ont l’ apparence de femmes ou d’ hommes ils restent avec des papiers non conforme à leur genre social.

Car en effet, ces deux individus vivent affectivement et socialement comme des femmes et elles trouvent des obstacles dans leur vie professionnelle et privée avec des papiers non conformes à leur apparence.

C’est pour cela que ces deux personnes vont pour quelques minutes se comporter comme des Hommes et donc, cela ne devrait donc pas choquer de voir des hommes torse nu même avec un bonnet 100D pour la Baronne et 90C pour le Dr Cabral.

En effet il faut comprendre que pour voyager dans d’autres pays ou elles risquent leur vie, à Dubaï par exemple ou autres pays interdit aux Trans et aux Gays, sauf, que les Trans sont visibles à cause de leurs papiers.

Adresse de la piscine de 17 Millions d’Euro.

Pour Paris, une piscine sur Seine appelée Joséphine Baker

Ce bassin flottant jouxtant une nouvelle passerelle piétonne ("Simone de Beauvoir"), sera un des fleurons de l'opération Paris Plages (20 juillet-20 août) qui s'étend cette année à la rive gauche. La rive gauche au pied de la bibliothèque François Mitterrand.


La Baronne
0689911663
http://associationlabaronne.noosblog.fr
labaronneump@yahoo.fr

Camille Cabral
0674670333
c.cabral@noos.fr


Image

Et bien avec une piscine de 17 Millions d’€uros, la baronne et l'écolo peuvent effectivement se trimballer les seins à l'air, vont elles se tapper le cancer du mamelon ?!
Moi je vais tacher d'aller recontrer la baronne avec mes couilles à l'air et je vais militer pour le naturisme urbain :twisted:

D'un autre côté ce n'est que la second fois en quelques semaines que les verts s'affichent ouvertement avec l'ump... :twisted:
Elu par cette crapule
Avatar de l’utilisateur
Léa
 
Messages: 2363
Inscription: Samedi 19 Fév 2005 21:16
Localisation: Pas très Loin. Derrière toi !

Messagepar Léa » Samedi 29 Juil 2006 18:25

SCANDALE A PARIS-PLAGE : Delanoë sort les matraques pour disperser une manifestation

Hier soir, les autorités de Paris-Plage ont finalement fait appel à la police nationale pour évacuer les manifestants.

La lutte contre les expulsions de sans-papiers s'est invitée hier soir à Paris-Plage : une trentaine de personnes ont fait irruption dans une salle de concert de ce nouveau lieu branché en criant divers slogans contre les expulsions. Des banderoles ont été déployées, et les manifestants ont été violemment repoussés par les vigiles de Delanoë. Après avoir expulsé les sans-abris des quais parisiens, le maire de Paris, bien connu pour son attachement à l'ordre policier, a en effet interdit les manifestations à Paris-Plage. Bertrand Delanoë ne tolèrera pas que l'on trouble son entreprise de privatisation des quais de la capitale.
Elu par cette crapule
Avatar de l’utilisateur
Léa
 
Messages: 2363
Inscription: Samedi 19 Fév 2005 21:16
Localisation: Pas très Loin. Derrière toi !

Messagepar Léa » Jeudi 17 Aoû 2006 10:13

Répression à Paris-Plage

Gauche plurielle, SDF et Paris-Plage. Les forces de l'ordre et les vigiles de la ville de Paris assurent la suspension des libertés publiques sur Paris-Plages

Ce mardi 15 août les usagers de Paris-Plage se sont vus distribuer des tracts traitants du problème des SDF sur les quais de Seine.

Une quinzaine de personnes se sont en fait semble-t-il donnée rendez-vous afin d'informer passants et touristes de leur point de vue sur les opérations de la ville de Paris et de la police pour déplacer les SDF des zones touristiques afin de les dissimuler dans des recoins plus discrets de la ville ou dans des foyers spécialisés sous l'autorité des organismes de charité subventionnés.

Ainsi quelques amis et militants, se réclamant d'un collectif pour le logement du XVIIIe arrondissement alliés pour la circonstance au Groupe Kactus ont distribue des tracts sur les berges du quai de la Mégisserie.

Cinq minutes environ après le début de cette distribution commencée place du Châtelet, des personnels de surveillance sont arrivés a vélo pour signifier l'interdiction de la distribution de tout tract ou toute information. Un peu surpris par cette inattendue suspension des libertés publiques, le groupe a continue sa distribution en cherchant à regagner la chaussée. Ceci sur conseil des personnels municipaux.

Cependant, une jeune personne du groupe a été encerclée par deux policiers accourus pour neutraliser la distribution interdite et ordre lui a été donne de remettre un tract. Après une hésitation, le tract signé Groupe Kactus lui fut remis. Le policier pris la poudre d'escampette avec l'objet litigieux pour s'en remettre à une autorité plus élevée. Quelques instants auparavant, un cycliste prenait virulemment la défense des personnes inquiétées et arguait du droit à la liberté d'expression.

Revenu sur les trottoirs des quais, le groupe chercha à se réintroduire dans le lieudit "Paris-Plage". Un d'entre eux, parti en éclaireur, fut bloqué au passage d'une passerelle d'accès, interdiction lui était signifiée d'entrer sur l'espace ludique estival. Monsieur R. demanda à la police si la liberté d'expression était suspendue comme en Tunisie. Le groupe qui l'accompagnait se rapprocha, des passants se manifestèrent, un petit attroupement commençait à se constituer, un membre du groupe assurait l'enregistrement de l'événement sur vidéogramme au moyen du caméscope dont il était muni. Cet initiative contraria particulièrement un des policiers prévenu par un agent de la société Altair, société de sécurité charge d'assurer la suspension des liberté publique dans la meilleure tranquillité. Le policier vint expliquer la stricte interdiction de filmer sans autorisation sur la voie publique. En dépit d'explications de droit assez détailles qui lui ont été fournies et la possibilité de l'agent de la force publique d'étendre ces connaissances assez limitées sur le sujet, il voulu rester fidèle à son ignorance.

Dans le même temps, un dialogue commença avec un autre membre du groupe au sujet de la supériorité du principe de liberté d'expression sur un simple règlement municipal manifestement attentatoire aux principes les plus élémentaires.

Un policier voulu clore la conversation par "c'est interdit et puis c'est tout, on respecte ce qui est interdit". Il interdisait en outre aux passants de prendre parti ou de converser. Un autre, moins certain de son bon droit donna le conseil de s'en remettre aux autorités municipales à qui revenait la responsabilité de l'interdiction. Un vigile vint faire part à certains membres du groupe de sa qualité d'anciens SDF et donna des conseils pour conduire une lutte auprès des "décideurs", "et de combats en combat, vous gagnerez la guerre" dit-il. Mais il préférait ne pas être mis dans l'embarras dans son travail tout en étant manifestement très sensible au problème de la suspension des libertés publiques. Un passant se présenta comme journaliste et prit avec dérision les explications policières.

Le groupe finalement refoulé sur les quais se mit à crier "Paris-Plage, Paris-Flicage" puis regagna la place de l'Hôtel de ville pour distribuer le restant de tracts en compagnie du dénommé Charlie et de son acolyte arborant des panneaux contre les expulsions. Le déguisement pittoresque de Charlie plu beaucoup aux passants et aux enfants, habille de troupe et portant un masque de diable, il offrit son service pour figurer sur des photos. Des passants apportaient leurs encouragements aux manifestants, des provinciaux manifestaient leur satisfaction d'être informes de ce qui se passait a Paris.

Les distributeurs de tracts opéraient en "zone libre" mais un militant socialiste les arranga pour leur signifier leur traîtrise et leur ralliement de fait a Sarkozy. Il tint à préciser qu'il souhaitait voir Strauss Khan président de la république.

À la fin de la distribution de 3000 tracts intitulés "expulser des gens déjà dehors, le nouveau projet de la gauche plurielle" et un autre intitulé "Offensive des bourgeois qui occupent l'Hôtel de ville, la gauche veut virer les pauvres" au nombre de 1000 exemplaires, le groupe quitta les lieux.

:arrow: Souces : Indy Paname > Article 65939
Elu par cette crapule
Avatar de l’utilisateur
Léa
 
Messages: 2363
Inscription: Samedi 19 Fév 2005 21:16
Localisation: Pas très Loin. Derrière toi !

Messagepar tomatok » Jeudi 17 Aoû 2006 13:22

Léa a écrit:Cinq minutes environ après le début de cette distribution commencée place du Châtelet, des personnels de surveillance sont arrivés a vélo pour signifier l'interdiction de la distribution de tout tract ou toute information. Un peu surpris par cette inattendue suspension des libertés publiques,

et ouaip je crois que c'est normal au chatelet, un truc décidé localement comme quoi faut une autorisation pour avoir le droit d'y differ des trucs (style les gens de WWF qui font signer des pétitions et autres) si mes souvenirs sont bons... lors du mouvement anti-CPE on avait essayé d'y differ des flyers et en 2 temps 3 mouvements on s'est fait jeter par une patrouille de flics, qui a appelé des collègues en voiture qui nous ont suivi (en voiture) dans la rue piétonne en roulant à 2 à l'heure jusqu'à ce qu'on soit effectivement sorti de la zone commerçante de chatelet pour vérifier qu'on diffait pas sur le chemin ou qu'on se reposait pas plus loin...
tomatok
 
Messages: 1851
Inscription: Vendredi 20 Jan 2006 1:48


Retourner vers Actualité hexagonale

cron