Rouge & Noir

bam!

Qu'est-ce que j'disais...

lucien a écrit:

goldfax a écrit:

Minalys a écrit:Ca peut toujours porter ses fruits de parler avec des gens d'extreme droite car il n'est pas rare de les voir "basculer de camp". La plupart des gens qui se refugient là dedans, ce ne sont rien d'autres que des révoltés qui ne savent pas à qui s'en prendre et qui peuvent avoir un bon fond...

Là, ça commence à devenir ridicule !

Pas tant que ça, si ?

désolé mélanie, mais la porsche avec laquelle camus s'est planté ne lui appartenait pas, c'était celle de Michel Gallimard son éditeur.
camus n'avait en éffet rien d'un petit bourgeois d'écrivain bien payé. dommage...

Et qui a lu Camus sait qu'il n'avait rien d'un "petit-bourgeois bien payé", si par là on entend qu'il s'est assis tranquilement et a fermé sa gueule. Je trouve, et cela sans verser dans l'admiration béate, que Camus était un bon écrivain doublé d'un homme dont la morale me plait.

http://perspectivlibertaire.free.fr/spip/spip.php?article15



Peut-on parler de la pensée politique d’un artiste ? Telle est la première question à élucider avant de poursuivre plus loin l’investigation de la pensée de Camus. La question est d’abord générale puis parti-culière à l’auteur étudié. Pourquoi, en effet, un écrivain aurait-il plus qu’un artisan ou qu’un ouvrier le ‘droit de grâce’ ? Pour Camus, si l’artiste a pu parfois se taire, notre époque l’amène inéluctablement à prendre position. Nous examinerons donc les critiques formulées par Camus. Théoriques d’abord, puis pratiques, c’est-à-dire critiques des faits réels, et nous cher-cherons dans ses propos et dans son œuvre ce qui est positif, constructif.

http://cnt-ait.info/article.php3 ?id_article=1232
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