Personnellement je n'ai assisté qu'aux premières interventions. Je retiens d'abord que, pour un des orateurs, le calme du peuple palestinien à la mort d'Arafat serait une véritable leçon de maturité démocratique, la population laissant ses grands chefs s'affrontaient pour la prise de pouvoir et en attendant des élections (prévues en janvier)...
Mais aussi les exemples, cités par une autre intervenante, de résistance autonome de différents villages luttant contre la construction du mur...
Bref deux visions peut-être opposées de ce que devrait être l'implication des "masses" dans la gestion de leur propre devenir...
Est-ce le contre-coup de la soirée-bové ? En tout cas j'ai trouvé que les gens n'y avaient pas plus d'esprit critique, qu'ils n'étaient là que pour consommer du discours et s'enthousiasmer devant toutes ces belles paroles... Flippant !