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lundi de pentecôte

MessagePosté: Samedi 07 Mai 2005 19:44
par lucien
Il y aura bien une manifestation le lundi de pentecôte (16 mai !) à Caen :

10:30, place saint-pierre

Vous pouvez retrouver les différentes contributions sur le sujet dans la rubrique :
Suppression d'un jour férié - actions de la CNT-AIT (France & International)

Salarié(e)s, chômeurs(-euses),
étudiant(e)s et lycéen(ne)s :

Toutes et tous dans la rue contre l'Etat et le Capital !


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[logo by Anartoka ;)]

MessagePosté: Samedi 14 Mai 2005 18:19
par lucien

MessagePosté: Samedi 14 Mai 2005 18:23
par Paul Anton
Guerre à la bourgeoisie!:twisted:

LUNDI DE PENTECOTE AGITE EN MIDI-PYRENNEES

MessagePosté: Lundi 16 Mai 2005 23:24
par Federica MONTSENY
VU SUR LE SITE DE FRANCE 3
LUNDI DE PENTECOTE AGITE EN MIDI-PYRENNEES

PREMIER BILAN D’UN JOUR FÉRIÉ PEU ORDINAIRE
lundi 16 mai 2005



1.500 personnes manifestent contre lundi de Pentecôte travaillé

Mille cinq cents personnes selon la police ont manifesté en fin de matinée à Toulouse contre le lundi de Pentecôte travaillé, à l’appel des organisations syndicales de salariés, a constaté un journaliste de l’AFP.

Le mot d’ordre "Raffarin voleur, Raffarin racketteur" revenait souvent parmi les manifestants rassemblés place du Capitole contre la journée de solidarité en faveur des personnes agées. La manifestation a regroupé une majorité de militants de la CGT et de Force Ouvrière, des militants de Sud, ainsi que des syndicats d’enseignants tel le Snesup. Quelques entreprises étaient présentes derrière leur banderole notamment Astrium (groupe EADS). Les parents d’élèves de la FCPE s’insurgeaient contre le fait que "les enfants sont pris en otages, ils ne sont pas salariés". Du côté des partis politiques, on remarquait surtout le PCF, mêlant les slogans sur le lundi de Pentecôte et ceux contre le référendum sur la Constitution européenne, en arborant des pancartes "Pour moi c’est non !".

Tandis qu’une partie des manifestants restait face à l’hôtel de ville, place du Capitole, quelques centaines de militants, notamment avec les anarcho-syndicalistes de la CNT-AIT, se rendaient à la préfecture puis au rectorat. Après un bref face à face avec les forces de l’ordre devant le rectorat [lycéens qui s'étaient fait matraquer la semaien dernière étaient un peu vénère ...] , ces manifestants se sont dispersés sans incidents vers 13h00, tandis qu’au Capitole la manifestation se transformait en pique-nique [no coment ...]. Par ailleurs 200 manifestants du Gers, selon la police, se sont rassemblés dans la matinée à Auch pour dénoncer "une décision inique qui spolie les salariés"


http://www.sud.france3.fr/info/1066...

MessagePosté: Mardi 17 Mai 2005 10:24
par changuita
y a t il eu du monde sur caen pour manifester?

MessagePosté: Mardi 17 Mai 2005 11:29
par Paul Anton
Il y a eu un peu de monde dans la mesure où l’on n’a pas retrouvé que des encartés. 8)

MessagePosté: Mardi 17 Mai 2005 18:53
par lucien
Ouaip, pis 5000 manifestants, c'est déjà plus réaliste que le millier d'abord annoncé (j'me disais bien aussi...).

re manif

MessagePosté: Samedi 21 Mai 2005 22:09
par nicolas ex caennais
Raffarin ce racketteur il ne faut pas le laisser passer

Marre des moutons il faut manifester sans relache

un faux cul a matignon et un a lélysée

Qu attendons nouds camarade pour faire laREVOLUTION !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

MessagePosté: Samedi 21 Mai 2005 22:12
par Paul Anton
Je suis tout à fait d'accord avec toi camarade :!: Vive la lutte des classes :!: :twisted:

MessagePosté: Mardi 24 Mai 2005 15:24
par changuita
je suis pas sure qu'une manifestation fasse changer quoi que ce soit, malgré qu'il y en ait, raffarin il est toujour là, eh quoi, c'est vrai ou c'est faux? je dis rien, c'est deja bien de faire quelquechose et je suis pas forcement bien placé pour critiquer. Quand à la notion de lutte des classes, je sais pas trop, il faudrait mieux proner une abolition des classes, car qui dit lutte des classes dit un combat et dans un combat il y a toujours un vainqueur et un vaincu, non; ce qu'il faut combattre c'est le capitalisme et ce combat ne se fait pas entre individus mais gràce à une multitude d'individu luttant ensemble contre tout un systéme qui englobe bien plus qu''un gouvernement.

MessagePosté: Mardi 24 Mai 2005 18:12
par lucien
Preuve que l'on peut parler d'oppression ou de luttes sans se référer aux grands concepts... 8)

changuita développe des idées proches de celles de la FORA et présentées à l'occasion d'une autre discussion, plus théorique. :D

MessagePosté: Jeudi 26 Mai 2005 17:57
par Paul Anton
Il est vrai que certains concepts: « lutte de classes », « prolétaire », « bourgeoisie »… méritent d’être repensés aux vues des nombreuses transformations du système capitaliste qui se sont déroulées depuis plus de trente ans. Il me parait juste d’autre part de dire que les frontières circonscrivant ces dites classes sont beaucoup plus durs à définir.


:arrow: vers un autre débat :?: :wink:

MessagePosté: Vendredi 27 Mai 2005 12:30
par Anartoka
il faut englober dans proletaire, le tertiare, les vendeurs...Etc... ça m'ennerve quand on me dit qu'un prolo c'est un ouvrier ou pire que seul les ouvriers peuvent être libertaire...

MessagePosté: Vendredi 27 Mai 2005 18:50
par lucien
Anartoka a écrit:il faut englober dans proletaire, le tertiare, les vendeurs...Etc... ça m'ennerve quand on me dit qu'un prolo c'est un ouvrier ou pire que seul les ouvriers peuvent être libertaire...
Qui t'as sorti que seuls les ouvriers pouvaient être libertaires ?! :lol:
Des noms !! :lol:
Personnellement, je préfère anarchiste. :roll:

En tout cas la discussion sur les notions de lutte de classe et de prolétariat mérite de se poursuivre... par exemple :arrow: ici !

MessagePosté: Mercredi 20 Juil 2005 3:48
par Léa
Rappel :
:arrow: Loi du 30 juin 2004 relative à la solidarité pour l'autonomie des personnes âgées et des personnes handicapées


Lundi de Pentecôte : un rapport préconise plus de souplesse pour plus d'efficacité

LEMONDE.FR | 19.07.05 | 09h09

Le comité de suivi et d'évaluation de la journée de solidarité, présidé par le député UMP Jean Leonetti, préconise, dans un rapport rendu mardi au premier ministre, Dominique de Villepin, une plus grande souplesse dans l'application de cette mesure."Alors que le premier bilan de la journée de solidarité est contrasté, un dispositif plus souple, plus lisible et plus équitable à long terme paraît nécessaire pour renforcer, dans les années qui viennent, la solidarité avec les personnes handicapées et les personnes âgées dépendantes", écrit Jean Leonetti.

La loi du 30 juin 2004, relative aux personnes handicapées et aux personnes âgées dépendantes, a instauré une journée de solidarité destinée à financer diverses mesures en leur faveur. Le gouvernement tablait sur"environ 2 milliards d'euros" de recettes issues de cette journée travaillée. Face à la vague de protestations suscitée, Jean-Pierre Raffarin avait demandé à Jean Leonetti de mener un groupe de travail afin de faire le point et de formuler des propositions.

La loi laisse aux partenaires sociaux et aux responsables des administrations la possibilité de choisir la date de cette journée. C'est seulement à défaut d'un accord que la journée est fixée au lundi de Pentecôte. Le comité de suivi et d'évaluation propose que "plus de liberté" soit donnée "en laissant les entreprises et les administrations organiser le travail d'une journée de solidarité".

"EFFORT MIEUX RÉPARTI"

Le rapport du comité d'évaluation de la journée de solidarité propose pour l'an prochain que les enseignants participent "à une journée ou à deux demi-journées de travail, sans la présence d'élèves, pour l'étude du projet d'école ou d'établissement ainsi qu'aux 'contrats d'objectifs' liant l'établissement et l'autorité académique", comme le prévoit la loi d'orientation sur l'école du 23 avril dernier, ou bien consacrent sept heures, utilisables en tranches, à du soutien aux élèves en difficulté.

Il préconise également de "créer plus de fraternité" en consacrant chaque année une journée "à la solidarité de proximité envers les personnes dépendantes".

Parmi les solutions financières envisagées, le comité évoque notamment une "augmentation de la part des prélèvements sur les revenus du patrimoine et les revenus de placement" de l'ordre de 0,3 %, ce qui rapporterait "environ 300 millions d'euros". Il avance également la possibilité pour l'impôt de solidarité sur la fortune (ISF) d'alimenter la caisse nationale de solidarité pour l'autonomie ou bien la création d'un prélèvement supplémentaire pour les professions libérales, les artisans et les commerçants, voire une augmentation du taux de la contribution sociale généralisée (CSG).

Le comité "propose de poursuivre la réflexion sur la dépendance et son mode de financement pour l'avenir". "A une évaluation objective des besoins futurs doit s'associer la recherche d'un effort mieux réparti sur l'ensemble des citoyens", souligne Jean Leonetti.

En conclusion, le comité de suivi et d'évaluation estime que le principe de la journée de solidarité "doit être maintenu", que l'esprit de la loi doit s'appliquer "avec souplesse pour plus d'efficacité et plus d'acceptabilité", la mesure devant être "ressentie comme nécessaire, efficace et juste".

Avec Reuters

MessagePosté: Mercredi 20 Juil 2005 17:38
par lucien
Trop facile de faire grève le lundi de pentecôte : ils vont réussir à nous le faire passer quelque part ce temps de travail gratuit...