J'ai lu ça dans les liens précedent que l'on pouvait effectivement utiliser Linux en parallèle à windows, mais ça reste assez flou pour moi. Si tu as des infos et plus de précisions, n'hésite pasgoldfax a écrit:J'ai une amie qui utilise Linux, parallèlement à Windows. C'est beaucoup plus simple, il paraît...
Tu pourrais pas nous faire un petit sujet dans cette rubrique, avec les liens que j'ai mis, on devrait s'y retrouver à un moment, même pour les novices.Anartoka a écrit:tu fout le cd linux, tu boot dessus et sans rien installer tu as linux sur ton ordi
prednre de préférence la distrib Gnopix (pas sur de l'ortho)
T'étais prévenu !Léa a écrit:Je suis carrément paumé par rapport à Windows. Je ne sais même pas installé un logiciel, truc de packages, etc... ça promet...
A mon avis, garde-le encore un peu après la phase d'apprentissage (de toute manière, il te faudra du temps !!) : il t'arrivera bien un moment où t'auras un logiciel ou un périphérique ne fonctionnant pas sous Linux...Léa a écrit:Après, il n'y a plus qu'à installer, en partitionnant effectivement son DD préalablement, afin de garder windows pendant la phase d'apprentissage.
Appel a contribution - machines
-----BEGIN PGP SIGNED MESSAGE-----
Hash: SHA1
Bonjour,
Dans le cadre de la récente ouverture, dans le 11° arrondissement de paris d'un "squat" autogéré, a vocation politique, sociale et culturelle, nous envisageons d'organiser un atelier régulier d'informatique libre. Toutes les machines doivent tourner sous linux (debian et ubuntu principalement). Nous avons déjà une machine pour faire office de serveur, et une deuxieme comme poste utilisateur. cependant, nous sommes a la recherche d'autres machines, ou éléments de machine, afin d'obtenir au total suffisament de matériel pour ouvrir aux habitants du quartier une vraie "salle informatique", dontée de tout les logiciels nécessaire aux utilisateurs, fonctionels et libres.
C'est pour cela que nous faisons appel a toutes les bonnes volonté: si vous avez une vielle machine (ou une récente, on est pas contre!), ou des éléments fonctionnels (disques durs, boitiers, ram, connectique...) a donner pour un projet social fondé sur Linux et les logiciels libres, n'hésitez pas a nous contacter : effraie@apinc.org
merci d'avance.
ps: Le lieu est en cours d'installation, pour des raisons de sécurité, il n'est donc pas encore ouvert au public, et son adresse exacte n'est pas encore diffusée. Néanmoins, trés prochainement, nous mettrons en place un site internet, ou vous trouverez toutes les informations relative au projet politique, au mode de fonctionnement, et au programme de ce lieu (qui n'a pas encore de nom définitif).
-----BEGIN PGP SIGNATURE-----
Version: GnuPG v1.4.1 (GNU/Linux)
Comment: Using GnuPG with Thunderbird - http://enigmail.mozdev.org
Tu parles bien de RoGer ?Anartoka a écrit:en espérant que les RG passent pas sur le site
Non, c'est passé aujourd'hui, mais j'ai reçu cet appel décripté et il était publié sur une Mailing list militante assez active, donc l'info était là pour être diffusé... J'espèreAnartoka a écrit:il est vieux ton copier coller ?
C'est là, que ça devient un peu plus compliqué pour moi : question de lexique technologique Je m'y mets doucement. En tout cas si ce "squat" devient effectivement public, j'y ferais une visite (au minimum)Anartoka a écrit:en tout cas il était à l'origine crypter avec openpgp
Ubuntu payant - Tout a une fin !
C'est Mark Shuttleworth, lui-même, qui le dit dans une interview sur channelregister : "Mr Shuttleworth also has a distant intention, somewhere in the future, of recouping some of the $10m a year he funnels into Ubuntu, and trying to turn it into some kind of profitable business." ... "We are in this delicate transition phase from being something that's entirely community orientated to something that has this professional wing. So that's something that we have to steer very carefully."
Arrivera donc un moment où il faudra mettre la main à la poche pour utiliser Ubuntu. Cette distribution ne demeurera pas éternellement 100% communautaire et basée sur le pur bénévolat. Comme pour les sociétés Red Hat, SuSE, Mandriva, la distribution devra apporter de l'argent.
En fait, c'est logique ! Distribution GNU/Linux ou pas, la distribution devra bien s'autofinancer sans devoir compter perpétuellement sur la solidité financière du créateur initial. Fut-il milliardaire ! Car, en effet, il faut bien payer les développeurs, l'infrastructure elle-même.
Un mythe qui s'écroule ? Pour ceux qui vivent (à priori) de l'air du temps.
Reste à savoir sous quelle forme Ubuntu sera financée, quelles modifications à la clé ?
Lien direct vers l'interview :
Channelregister.co.uk > Ubuntu goes mainstream