EXARCHEIA PARTOUT !

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Messagepar Lambros » Jeudi 04 Déc 2014 22:58

A l'heure où nous écrivons ces lignes, l’École Polytechnique d'Exarcheia, ce quartier repris en mains par les anarchistes grecs il y a quelques années, est ré-occupée. Ce n'est pas que symbolique. 41 ans après les événements de novembre 1973, l'insurrection étudiante contre la dictature des colonels qui vit l'intervention de l'armée le 17 novembre, c'est cette fois-ci l'armée d'occupation de la démocratie (l'équivalent des CRS) qui tentent de déloger nos frères et sœurs, en vain pour le moment.

A Exarcheia, les exploité-es n'attendent plus, illes se servent. Par l'action directe, l'autonomie, debout face à l'Etat et ses instruments. Que la révolte gagne la Grèce et le reste du monde. C'est notre moment !

Le syndicat de Clermont-Ferrand de la CNT-AIT apporte tout son soutien, sans compromis.

L’État nous attaque, attaquons l’État !
Pour l'insurrection
Vers l'anarchie

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Re: EXARCHEIA PARTOUT !

Messagepar kuhing » Vendredi 05 Déc 2014 9:13

J'étais l'été dernier dans ce quartier d'Athènes.
C'est vrai qu'il y flottait un parfum de liberté.

Nous avons reçu par mail hier une info concernant Nikos Romanos. Quelqu'un sait-il plus précisément ce qui lui arrive ?
Je viens de trouver ça sans chercher très longtemps :

Image
Depuis le 10 novembre, Nikos Romanos est en grève de la faim. Ce jeune détenu anarchiste, privé de son droit aux études, dénonce le comportement du gouvernement à son encontre, proteste contre la condition des détenus et les politiques menées dans son pays. Il risque la mort.

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En Grèce, un jeune homme de vingt ans se meurt. Depuis le 10 novembre, il est en grève de la faim. Sur fond de crise économique et sociale, d’application sans merci d’une politique d’austérité qui plonge le pays dans la misère, cet anarchiste est en train de devenir un symbole.

Génération des 700 euros
Il s’appelle Nikos Romanos. En réalité, son nom est déjà connu, depuis le 6 décembre 2008, le soir de sa fête (Saint Nikos). C’est dans ses bras qu’à Exarchia, un quartier d’Athènes, est mort Alexis Grigoropoulos, son ami d’enfance. Sous les balles de la police. Ce fut l’événement déclencheur des "émeutes" d’Athènes. À l’époque, les jeunes, dans les rues, dénonçaient notamment la paupérisation de la société grecque. Ils étaient la "génération des 700 euros", le salaire minimum grec. Les jeunes Grecs étaient alors les plus diplômés d’Europe, mais également les plus touchés par le chômage. Il y a six ans, ils manifestaient pour de meilleurs salaires et de meilleurs débouchés. Six ans après, leur situation n’a fait qu’empirer.

La crise financière qui a éclaté début 2010 en Grèce est devenue une crise économique, sociale et politique. En échange de prêts accordés par la troïka (FMI, Commission européenne, BCE), les gouvernements en place – d’abord menés par le Pasok (centre gauche), puis par Nouvelle démocratie (droite) – ont signé des "mémorandums", textes dans lesquels étaient énumérées les politiques à appliquer. Parmi elles, il y a la casse des conventions collectives et l’individualisation des contrats de travail, des hausses d’impôts et des baisses des minimas sociaux et salariaux.

À travers le "mémorandum II", en 2012, le salaire minimum national est ainsi diminué de 22% et même de 32% pour les moins de vingt-cinq ans. Le chômage, lui, explose et frappe aujourd’hui 25,9% des actifs selon les données les plus récentes publiées par Elstat, l’office grec des statistiques. Le chômage des 15-24 ans, de 26,3% en décembre 2008, s’élève aujourd’hui à 49,3%. La situation des jeunes est donc extrêmement dégradée (lire "Austérité en Grèce : les chiffres du désastre").

Des droits bafoués
C’est dans ce contexte que Nikos Romanos est arrêté en 2012, accusé du double braquage d’une banque. Il est torturé, comme en témoignent les photos prises alors. En prison, il passe des examens scolaires et valide son entrée à l’Université, comme trois autres de ses camarades. Le ministre de la Justice est allé jusqu’à visiter la prison pour les féliciter et leur remettre un prix de 500 euros. Romanos refuse d’assister à la cérémonie et de recevoir son dû.

Il se voit alors interdire de se rendre en cours, au contraire des autres jeunes qui ont réussi l’examen universitaire, comme le droit le veut. L’État grec se venge-t-il des positions tranchées d’un jeune de vingt ans qui, de surcroît, semble acquérir le soutien de la population ?

C’est, en tout cas pour revendiquer le respect du droit, notamment à son égard, que Romanos a entamé une grève de la faim. Respect du droit des prisonniers aussi. C’était il y a vingt-trois jours. Depuis, la mobilisation prend de l’ampleur malgré l’attitude d’un gouvernement qui semble adopter la stratégie de la tension. C’est ce qu’affirme Spyros Rapanakis, dans le journal Avghi (proche de Syriza), le 30 novembre : « Le gouvernement s’efforce par tous les moyens de créer une scène d’explosion. De tirer les extrémités en utilisant la stratégie de la tension. Il fera tout ce qu’il peut, afin de se maintenir au pouvoir un peu plus longtemps, et il n’hésitera pas devant une situation d’urgence. Nous n’avons aucune illusion à ce sujet. »

Le 2 décembre, un important rassemblement se déroulait à Athènes, à partir de 18 heures, réunissant notamment de nombreux jeunes. Lorsque les événements ont commencé en 2008, à Athènes, c’était le 8 décembre…


source

un commentaire très récent sous cet article concernant l'école polytechnique :

de Yannis Y témoignage direct d’Athènes reçu cette nuit :

Athènes, en ce moment même :
Réoccupation populaire de l’Ecole Polytechnique à Exarcheia, 41 ans après les événements de novembre 1973 (des anciens ont les larmes aux yeux et pensent que nous vivons un autre moment historique), et barbecues de bus et banques aux fines herbes aux alentours.

L’ambiance dans l’enceinte de ce lieu historique est extraordinaire. Les CRS suréquipés n’arrivent pas nous déloger. Beaucoup de tags à la mémoire de Rémi Fraisse et en soutien à la grève de la faim du jeune emprisonné Nikos Romanos. Distribution solidaire de sérum, citrons, mallox contre les lacrymogènes balancés comme du napalm depuis l’extérieur. Ça dépave, ça débat, ça écrit sur les murs et sur les corps, ça chante. Que la fête commence ! On attend vos messages de soutien !

Yannis Y
membre de l’assemblée d’occupation de l’Ecole Polytechnique=
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Re: EXARCHEIA PARTOUT !

Messagepar kuhing » Vendredi 05 Déc 2014 12:50

Lettre de Nikos Romanos ( traduire soi-même avec un traducteur auto )

Απεργία πείνας προαναγγέλλει, με κείμενό του από τις φυλακές Κορυδαλλού, ο καταδικασμένος για συμμετοχή σε εγκληματική οργάνωση Νίκος Ρωμανός. Την απόφαση αυτή πήρε γιατί, όπως αναφέρει, δεν του χορηγήθηκε...
η άδεια που δικαιούται προκειμένου να παρακολουθεί τα μαθήματα του ΤΕΙ όπου εισήχθη. «Η επιλογή που κάνω θέλω να είναι όσο το δυνατόν πιο ξεκάθαρη: δεν υπερασπίζομαι τη νομιμότητά τους· αντίθετα, απευθύνω έναν πολιτικό εκβιασμό ώστε να κερδίσω ανάσες ελευθερίας από την ισοπεδωτική συνθήκη του εγκλεισμού» αναφέρει στην επιστολή του επισημαίνοντας ότι «από τη Δευτέρα 10/11 ξεκινάω απεργία πείνας χωρίς να κάνω βήμα πίσω, με την αναρχία πάντα στην καρδιά μου».


Η επιστολή του Νίκου Ρωμανού:

«Την περασμένη άνοιξη έδωσα πανελλήνιες εξετάσεις μέσα από τη φυλακή και πέρασα σε μια πανεπιστημιακή σχολή στην Αθήνα. Με βάση τους δικούς τους νόμους, λοιπόν, από τον Σεπτέμβρη δικαιούμαι να αρχίσω να παίρνω εκπαιδευτικές άδειες από τη φυλακή για να παρακολουθώ το πρόγραμμα της σχολής.

Όπως είναι λογικό, οι αιτήσεις που έχω κάνει έχουν καταλήξει στα αζήτητα, γεγονός που με οδηγεί να διεκδικήσω αυτό το αίτημα με οδόφραγμα το σώμα μου.

Σε αυτό το σημείο είναι απαραίτητο να ξεκαθαρίσω το πολιτικό μου σκεπτικό ώστε να μπει ένα πλαίσιο γύρω από την επιλογή που πραγματοποιώ.

Οι νόμοι, εκτός από εργαλεία ελέγχου και καταστολής, αποτελούν ταυτόχρονα και μια διατήρηση ισορροπιών ή αλλιώς αυτό που επιγραμματικά ονομάζουμε κοινωνικά συμβόλαια, αντανακλούν κοινωνικοπολιτικούς συσχετισμούς και διαμορφώνουν τμηματικά ορισμένες θέσεις διεξαγωγής του κοινωνικού πολέμου.

Γι' αυτό και η επιλογή που κάνω θέλω να είναι όσο το δυνατόν πιο ξεκάθαρη: δεν υπερασπίζομαι τη νομιμότητά τους· αντίθετα, απευθύνω έναν πολιτικό εκβιασμό ώστε να κερδίσω ανάσες ελευθερίας από την ισοπεδωτική συνθήκη του εγκλεισμού.

Σε αυτό το σημείο ανοίγει ένα ζήτημα που αφορά τις διεκδικήσεις μας σε καθεστώς αιχμαλωσίας. Είναι δεδομένο πως αντιφάσεις πάντα υπήρχαν και θα υπάρχουν σε τέτοιες συνθήκες. Εμείς, για παράδειγμα, συμμετείχαμε στη μαζική απεργία πείνας των κρατουμένων ενάντια στο νέο νομοσχέδιο ενώ είμαστε φανατικοί εχθροί όλων των νόμων· αντίστοιχα πολλοί σύντροφοι έχουν διαπραγματευτεί με οδόφραγμα το σώμα τους τους όρους του εγκλεισμού τους («παράνομες» προφυλακίσεις, άρνηση σωματικού ελέγχου, παραμονή σε μία φυλακή), και πολύ καλά έκαναν.

Το συμπέρασμα λοιπόν είναι ότι, από τη συνθήκη που βρισκόμαστε, πολλές φορές είμαστε αναγκασμένοι να μπούμε σε ένα στρατηγικό πόλεμο θέσεων που είναι αναγκαίο κακό εδώ που βρισκόμαστε.

Με αυτή μου την επιλογή, τα πολιτικά χαρακτηριστικά της οποίας συγκεκριμενοποιούνται στον ίδιο τον τίτλο του κειμένου, δίνεται η δυνατότητα να ανοίξει ένα μέτωπο αγώνα σε μια χρονική συγκυρία ιδιαίτερα κρίσιμη για όλους μας.

«Ακριβώς, η ποίηση είναι η τέχνη του ατόφιου. Είναι αυτή που παραμένει ανυπότακτη, όταν η τάξη του διαφανούς έχει υποτάξει όλα τα άλλα είδη του λόγου. Όταν οι λέξεις έχουν προσεκτικά απολυμανθεί και στολιστεί σα μαρκησίες της αυλής, αφού θα καταλήξουν στο κρεβάτι του πρίγκιπα, όσο κι αν αυτό τις τρομάζει, και θα παραστήσουν τις σεμνές, θα υποκριθούν ότι έχουν αρετές που έχουν χάσει από καιρό στο βούρκο του συμβιβασμού και της εκπόρνευσης. Η ποίηση ή είναι ασυμβίβαστη ή δεν είναι τίποτα». (Ζαν-Μαρκ Ρουγιάν)

Συντρόφισσες και σύντροφοι, εδώ και καιρό μας εγκλωβίζουν. Από τα αστυνομικά μπλόκα και τα αντιτρομοκρατικά πογκρόμ, στα συμβούλια των οικονομολόγων που εξοντώνουν όσους δε χωράνε στις στατιστικές τους. Από τους έλληνες βιομηχάνους που αντιστέκονται στην επέλαση των πολυεθνικών κολοσσών στηρίζοντας τον όψιμο σοσιαλισμό του ΣΥΡΙΖΑ, στο καθεστώς έκτακτης ανάγκης, με πολιτικούς που προβάρουν το κοστούμι του υπερ-πατριώτη πάντα δουλικού για το καλό του τόπου, από τους μπάτσους και το στρατό που εξοπλίζονται με όπλα τελευταίας τεχνολογίας για την καταστολή εξεγέρσεων, στις φυλακές υψίστης ασφαλείας.

Ας πούμε τα πράγματα με τ' όνομά τους: αν κάτι εκμεταλλεύεται το κράτος, αυτό δεν είναι άλλο από την αδράνεια που πλέον έχει μονιμοποιηθεί ως μια φυσιολογική συνθήκη.

Σε λίγο θα είναι πια αργά, και η εξουσία με το μαγικό ραβδί της θα δίνει έλεος μόνο σε όσους γονατίζουν υποτακτικά μπροστά στην παντοδυναμία της.

Το σύστημα οραματίζεται ένα μέλλον όπου οι επαναστάτες θα θάβονται ζωντανοί σε «καταστήματα κράτησης εντατικού σωφρονισμού», μέσα στα οποία θα επιχειρείται η σωματική, ψυχική και ηθική καταστροφή τους.

Ένα πρωτότυπο μουσείο ανθρώπινης φρίκης όπου τα ζωντανά εκθέματα θα έχουν κρεμασμένη πάνω τους την ταμπέλα «παραδείγματα προς αποφυγή», ανθρώπινα πειραματόζωα πάνω στα οποία θα δοκιμαστούν όλες οι σαδιστικές προθέσεις της εξουσίας.

Ο καθένας απαντάει στα διλήμματα και κάνει τις επιλογές του. Ή θεατές σε απομονωμένες πολυθρόνες μιας ευνουχισμένης ζωής ή δράστες των γεγονότων που διαμορφώνουν την εξέλιξη της ιστορίας.

Εκείνο το βράδυ με το βλέμμα καρφωμένο στον ορίζοντα είδαμε πολλά αστέρια να πέφτουν διαγράφοντας τις δικές τους χαοτικές διαδρομές. Κι εμείς μετρούσαμε και ξαναμετρούσαμε, κάναμε ευχές, υπολογίζαμε τις πιθανότητες. Το ξέραμε ότι η επιθυμία μας για μια ελεύθερη ζωή έπρεπε να περάσει πάνω από όλα όσα μας καταπιέζουν, μας δολοφονούν, μας καταστρέφουν, γι' αυτό βουτήξαμε στο κενό, όπως ακριβώς τα αστέρια που βλέπαμε να πέφτουν.

Από τότε άπειρα αστέρια πέσαν, μπορεί να ήρθε η ώρα να πέσει και το δικό μας, ποιος ξέρει; Αν είχαμε έτοιμες τις απαντήσεις δε θα γινόμασταν αυτό που είμαστε αλλά ιδιοτελή καθάρματα που θα διδάσκαμε στους ανθρώπους τρόπους να γίνουν τρωκτικά που τρώγονται μεταξύ τους όπως κάνουν σήμερα.

Τουλάχιστον εμείς παραμένουμε ακόμα απόλυτοι και πεισματάρηδες όπως οι άνθρωποι της πάστας μας. Και όσοι από εμάς με έναν πόνο έκλεισαν τα μάτια τους και ταξίδεψαν μακριά, παραμένουν με το βλέμμα κολλημένο σε εκείνον το βραδινό ουρανό που κοιτάζαμε και εμείς. Και μας βλέπουν να πέφτουμε, αστέρια όμορφα και λαμπερά. Τώρα ήρθε η σειρά μας. Τώρα πέφτουμε χωρίς δισταγμό.

Από τη Δευτέρα 10/11 ξεκινάω απεργία πείνας χωρίς να κάνω βήμα πίσω, με την αναρχία πάντα στην καρδιά μου.

Υπεύθυνο για κάθε μέρα απεργίας πείνας, και ό,τι συμβεί από εδώ και μπρος, είναι το συμβούλιο της φυλακής που αποτελείται από τον εισαγγελέα Νικόλαο Ποιμενίδη, τη διευθύντρια Χαραλαμπία Κουτσομιχάλη, καθώς και την κοινωνική λειτουργό.

ΑΛΛΗΛΕΓΓΥΗ ΣΗΜΑΙΝΕΙ ΕΠΙΘΕΣΗ

ΥΓ. Προς όλους τους «αγωνιστές» των σαλονιών, τους επαγγελματίες ανθρωπιστές, τις «ευαίσθητες» προσωπικότητες της διανόησης και του πνεύματος: προκαταβολικά στα τσακίδια.

Νίκος Ρωμανός
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Re: EXARCHEIA PARTOUT !

Messagepar kuhing » Vendredi 05 Déc 2014 14:26

rassemblement il y a deux jours à Paris pour Nikos Romanos




à Athènes il y a 3 ou 4 jours

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Re: EXARCHEIA PARTOUT !

Messagepar kuhing » Vendredi 05 Déc 2014 16:45

Message reçu par mail de Vicky tout à l'heure :

A la moitié de la traduction que j'ai entreprise j'ai découvert (avec déception et soulagement - je ne suis pas traductrice) qu'elle avait déjà été faite par l'indymedia d'Athènes. Vous pouvez lire le texte ICI
Ce texte est important parce qu'il explique que son geste est un chantage politique dans le but de respirer quelques bouffées de liberté, ce n'est pas une revendication contradictoire de ses droits.

Concernant les faits, il est détenu (avec 3 autres) pour vol de banque à main armée et avec prise d'otages. Les otages ont été relâchés dès que ça a commencé à se corser, ce qui par ailleurs a conduit à leur capture. Il a également été accusé de faire partie d'un groupe terroriste, accusation qui n'a pas été retenue, faute de preuves. Nikos Romanos a été considéré comme détenu politique aux yeux d'une grande partie de la population grecque, à partir du moment où son droit aux congés d'éducation a été bafouillé, à cause de ses convictions anarchistes.

Demain, le 6 décembre, est le 6ème "anniversaire" de l'assassinat d'Alexandros Grigoropoulos par la police grecque, jeune de 15 ans à l'époque, meilleur ami de Nikos Romanos et mort devant ses yeux. Les jours de Nikos sont comptés, si l'état ne cède pas en accédant à sa demande.

Je ne peux faire plus là, tout de suite, qu'informer, merci de faire circuler autant que possible.

Vicky
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Re: EXARCHEIA PARTOUT !

Messagepar kuhing » Vendredi 05 Déc 2014 19:03

Pour écrire ( seulement courrier papier ) à Nikos Romanos pour le soutenir
( adresse de la prison où il est détenu )

Nikos Romanos
Dikastiki Filaki Koridallou,
Ε Pteryga,
18110 Koridallos,
Athènes, Grèce
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Athènes sur un volcan !

Messagepar Lambros » Samedi 06 Déc 2014 20:33

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Re: EXARCHEIA PARTOUT !

Messagepar kuhing » Vendredi 12 Déc 2014 9:25

Avec un peu de retard de bonnes nouvelles pour Nikos Romanos :


-E-mail d'origine-----
De : non-fides <non-fides@riseup.net>
A: kuhing <>
Envoyé le : Me, 10 Déc 2014 15:53
Sujet : Grèce : Nikos Romanos met victorieusement fin à sa gréve de la faim !

Nikos Romanos a aujourd’hui, le 10 décembre, mis fin à sa grève de la faim après le vote au parlement d’un amendement (ce dernier autorise le suivi des cours avec bracelet électronique).
Lire la suite ici :http://www.non-fides.fr/?Grece-Nikos-Romanos-met
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