congrés de la fau

[Paul Anton]

Excuse-moi !! (Je dois aller bientôt au boulot ... je suis un peu de mauvais poile ... y'a des cons à mon boulot ... )

Oui, si tu veux ...

[tomatok]

y'a des cons à mon boulot ...

pas de problème, je comprends, j'avais pas pris ton post pour une attaque

[rosa.]

ok, j'arrète de me prononcer.
mais toi tomatok, qu'en penses tu de ce prétendu rapprochement d'une partie de la fau avec les vignoles?

[NOSOTROS]

En fait rosa. c'est pas exactement ça : depuis toujours la FAU est très très proche des Vignoles. Il n'y a donc pas de prétendu rapprochement mais un rapprochement réel, et ce depuis toujours.

Qui peut s'expliquer de différentes raisons (position politique commune (syndicalisme révolutionnaire) du moins pour ce qui concerne le groupes les plus "politiques" dans leur approche comme Bonn et Cologne, mais aussi générationnelles et façon de militer (Berlin : la FAU s'est recrée au début des 90 à partir de nouvelles générations issues du milieu rock alternatif pour aller vite, comme les Vignoles, affinités musicales et organisations de concerts communs qui créent des liens affectifs transcendants le politique. Tu rajoutes là dessus les bienfaits d'Erasmus qui ont permis les échanges et l'homogénéisation des pensées et des pratiques ...).

Ce qui est donc nouveau c'est plutot le fait que des groupes (et plus seulement des individus) de la FAU expriment leur souhait de changer d'interlocuteur, et d'en finir avec les relations exclusives avec les réformistes libertaires ...(voire pour certain de carrément rompre les ponts ...)

[rosa.]

merci pour l'éclairage

[tomatok]

ok, j'arrète de me prononcer.
mais toi tomatok, qu'en penses tu de ce prétendu rapprochement d'une partie de la fau avec les vignoles?

perso, je suis juste intervenu ici, car je trouve que l'argument du nombre n'en est pas un, et que c'est une pente dangereuse ; idem pour le fait de parler de la vie de quelqu'un sur un forum public. pour le reste, aujourd'hui, je n'en pense à peu près rien du tout. il fut probablement un temps où ces histoires m'intéressaient, mais y'a tellement à faire au niveau local aujourd'hui que je pense qu'on a autre chose à faire que d'aller fliquer ce que font les uns et les autres ailleurs, de savoir si ce qu'ils font correspond pile poilà notre conception des choses ou pas. savoir ce que soit-même on veut et quels moyens on se donne pour cela, c'est déjà pas mal. et le fait d'aller voir ailleurs pour parler sur ce qu'ils font ou ne font pas, c'est souvent un bon moyen de ne plus s'interroger sur ses propres pratiques, malheureusement, je le sais d'expérience. donc maintenant ce genre de choses, à la limite je m'en fous. en tout cas, je ne saurais avoir de considération "en général", faut voir au cas par cas.